domingo, maio 12, 2024

O Irmão Roger de Taizé nasceu há 109 anos...

      
Frère Roger, de son nom d'état civil Roger Schutz, né le 12 mai 1915 à Provence (Vaud, Suisse) et mort le 16 août 2005 à Taizé (Saône-et-Loire, France) est le fondateur de la communauté de Taizé.
   
Roger Schutz est le dernier des neuf enfants du pasteur protestant originaire de Bachs (Suisse), Karl Ulrich Schütz, et Amélie Henriette Schütz-Marsauche, une protestante française, originaire de Bourgogne.
Il naît et passe son enfance et sa jeunesse à Provence où son père est pasteur de la paroisse. De 1937 à 1940, Roger étudie la théologie réformée à Strasbourg et à Lausanne.
En 1940, à vingt-cinq ans, il décide d'aller partager en France le sort de ce pays occupé. «De Genève, je suis parti à bicyclette pour la France, cherchant une maison où prier, où accueillir et où il y aurait un jour cette vie de communauté.»
C'est à Taizé, un petit village de Bourgogne où les habitants l'accueillent chaleureusement, qu'il choisit de vivre. Au début de la guerre il accueille des dizaines de réfugiés juifs avec sa sœur Geneviève. En 1942 il rentre en Suisse et apprend qu'il ne peut retourner à Taizé car il a été dénoncé. En 1944 il retourne à Taizé et vient en aide aux prisonniers de guerre allemands.
«Dans ma jeunesse, j'étais étonné de voir des chrétiens qui, tout en se référant à un Dieu d'amour, perdaient tant d'énergie à justifier des oppositions. Et je me disais: pour communiquer le Christ, y a-t-il réalité plus transparente qu'une vie donnée, où jour après jour la réconciliation s'accomplit dans le concret ? Alors j'ai pensé qu'il était essentiel de créer une communauté avec des hommes décidés à donner toute leur vie et qui cherchent à se réconcilier toujours.»
Au fil des ans se développe la communauté de Taizé. En 1949, ils sont sept hommes à s'engager pour la vie dans la chasteté. Peu à peu d'autres compagnons se joignent à frère Roger: la communauté se compose à l'heure actuelle d'une centaine de frères venant d'une trentaine de nations et qui sont catholiques et de diverses origines évangéliques. À partir des années 1950, certains frères allèrent vivre en des lieux défavorisés pour se tenir aux côtés de ceux qui souffrent. Ils sont aujourd'hui au Brésil, au Sénégal, au Bangladesh, en Corée du Sud. La communauté n'accepte pour elle-même aucun don et cadeau. Les frères gagnent leur vie par leur travail. Leurs héritages personnels, ils les donnent aux plus démunis.
La confiance que témoigne au fondateur de Taizé le pape Jean XXIII joue un rôle important dans l'histoire de frère Roger. «Ah! Taizé, ce petit printemps!» dira un jour Jean XXIII en accueillant frère Roger. Des mots que Jean-Paul II reprendra lors de sa visite à Taizé le 5 octobre 1986, ajoutant: «On passe à Taizé comme on passe près d'une source » Invité par Jean XXIII, frère Roger vivra à Rome avec quelques frères de sa communauté tout le concile Vatican II.
   
Au milieu des années 1960, frère Roger, conscient des mutations profondes qui travaillent la société, demande aux frères de la communauté de se préparer à comprendre les jeunes, de les écouter. Frère François de Taizé écrivait, dans La Croix du 2 septembre 2005: «Déjà avant l’éclatement de 1968, il a senti venir cette rupture: dès 1966 il nous demandait de nous préparer à accueillir particulièrement des jeunes et d’imaginer quelle adaptation réclamerait cet accueil.» Frère Roger lui-même pratiquera cette écoute chaque soir dans l'église de la réconciliation. Les jeunes ont commencé à se rendre à Taizé dès la fin des années cinquante et n'ont cessé d'augmenter en nombre. Ils participent à des rencontres qui vont d'un dimanche à l'autre. Environ cent mille jeunes séjournent à Taizé chaque année.
À partir de 1962, des frères et des jeunes, envoyés par Taizé, n'ont cessé de se rendre dans les pays d'Europe de l'Est, dans la plus grande discrétion pour ne pas compromettre ceux qu'ils soutenaient.
De 1962 à 1989, frère Roger lui-même a visité la plupart des pays d’Europe de l’Est, parfois pour des rencontres de jeunes, autorisées mais très surveillées, parfois pour de simples visites, sans possibilité de parler en public («Je me tairai avec vous», disait-il aux chrétiens de ces pays).
Frère Roger voyagera aussi à travers le monde, parfois pour vivre simplement parmi les pauvres (Calcutta, mer de Chine, un bidonville de Nairobi, le Sahel, d'où il écrira à chaque séjour une lettre adressée aux jeunes, parfois pour animer des rencontres qui font partie d'un « pèlerinage de confiance à travers la terre » : Madras (Inde), Manille (Philippines), Johannesbourg (Afrique du Sud), U.S.A., Canada, Chili. Son objectif: encourager les jeunes à être porteurs de confiance et de réconciliation là où ils vivent, unissant dans leur existence vie intérieure et solidarité humaine.
Au lendemain de sa mort, Bruno Frappat écrivait dans La Croix (27-28 août 2005) : «Frère Roger, sans doute, aura été l’un des plus immenses de nos contemporains. (...) Pas un fondateur d’empire. Pas un potentat de l’industrie ou du commerce. Pas un vaniteux de la notoriété médiatique. Pas un opulent du patrimoine et des biens fugitifs. Il n’a rien laissé de concret, de matériel, de palpable, de négociable. Il a fondé une parcelle d’humanité. Comme réinventé une manière d’être humain. Avec les mots de tous.»
  
D'origine protestante, frère Roger Schutz s'est, au cours des années, rapproché de Rome et de la foi catholique, prenant ses distances avec la Fédération protestante de France et plus encore avec l’ecclésiologie protestante, se prononçant notamment en faveur du célibat des prêtres et d’un ministère universel du pape. En 1980, lors d’une rencontre européenne de jeunes à Rome, en présence du pape Jean-Paul II, il affirma publiquement en ces termes, dans la basilique Saint-Pierre : «J’ai trouvé ma propre identité de chrétien en réconciliant en moi-même la foi de mes origines avec le mystère de la foi catholique, sans rupture de communion avec quiconque
Cette évolution et, plus encore, la révélation de l’ordination comme prêtre catholique du frère Max Thurian en 1987, restée cachée pendant un an, ont semé le doute et provoqué de fortes tensions avec le protestantisme français. L'affaire Max Thurian « demeure une blessure, voire un traumatisme indépassable » pour certains protestants français qui «considèrent que Taizé s’est définitivement catholicisé» et ne peut plus être un «moteur de l’œcuménisme».
Jean-Claude Escaffit et Moïz Rasiwala rapportent, par ailleurs, le «trouble profond» ressenti par le fondateur de Taizé en apprenant l'ordination au sacerdoce catholique de Max Thurian, qui lui aurait été annoncée par lettre une semaine après, dans la perspective des conséquences désastreuses que cela pouvait avoir sur les relations œcuméniques. Par ailleurs, les auteurs affirment que Frère Roger, «à l'instar de tous les frères de Taizé», quelle que soit leur confession, communiait ouvertement et officiellement à l'eucharistie catholique, depuis 1972, date de l'engagement du premier frère catholique dans la communauté.
En 2006, l'historien Yves Chiron, proche des catholiques traditionalistes, a affirmé qu'il se serait converti au catholicisme en 1972 en compagnie de son bras droit, Max Thurian, et la profession de foi catholique aurait été reçue alors par l'évêque d'Autun, MgrArmand Le Bourgeois, sans que cela soit annoncé publiquement. Ceci a été démenti par frère Alois, successeur de frère Roger. Celui-ci explique qu'il n'y a pas de conversion à proprement parler ni de rupture avec ses origines mais une volonté de rapprochement tandis que le pasteur Gill Daudé, responsable du service des relations œcuméniques de la Fédération protestante de France parle lui de démarche de dépassement des clivages confessionnels. MgrGérard Daucourt, membre du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, indique pour sa part que frère Roger n'a pas triché «en cachant une conversion au catholicisme au sens où on l’entend habituellement». Il «partageait la foi catholique dans le ministère et dans l’Eucharistie», «il vénérait la Vierge Marie» et espérait «une proche restauration de l’unité visible entre tous les chrétiens», mais en voulant «vivre cela sans rupture avec quiconque».
    
       
Le 16 août 2005, alors qu'il participait comme tous les soirs de l'année à la prière commune avec plusieurs milliers de jeunes pèlerins présents à Taizé durant les Journées mondiales de la jeunesse 2005 qui se déroulaient à Cologne, le frère Roger, qui a alors quatre-vingt-dix ans, est poignardé mortellement par Luminita Solcan, une déséquilibrée âgée de trente-six ans qui avait réussi à s'introduire au milieu du chœur des Frères.
Ses funérailles se déroulent le 23 août 2005 en l'église de la Réconciliation de Taizé en compagnie des membres de la communauté de Taizé et de personnalités politiques et religieuses parmi lesquelles Horst Köhler, président de l'Allemagne, Nicolas Sarkozy, ministre français de l'Intérieur et ministre chargé des cultes, le pasteur Jean-Arnold de Clermont, président du Conseil de la Fédération protestante de France, l'évêque luthérien Wolfgang Huber, président de l'Église évangélique en Allemagne, l'archiprêtre Mikhail Gundyaev, représentant du Patriarcat orthodoxe de Moscou, en présence de plus de douze mille personnes.
Au cours de la messe concélébrée par le cardinal Walter Kasper, président du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, et quatre prêtres de Taizé, celui-ci a lu un message du pape Benoît XVI accordant sa bénédiction apostolique.
Le frère Roger est inhumé dans le cimetière du village. Sa succession à la tête de la communauté est assurée par frère Aloïs, catholique d'origine allemande, désigné par frère Roger en personne quelques années auparavant.
        
     
 

Bebel Gilberto faz hoje 58 anos


  
Isabel "Bebel" Gilberto de Oliveira (Nova Iorque, 12 de maio de 1966) é uma cantora brasileira nascida nos Estados Unidos. Muitas vezes associada à bossa nova, Bebel Gilberto é filha de João Gilberto e da cantora Miúcha, e sobrinha de Chico Buarque.
    

 


Jason Biggs comemora hoje 46 anos

  
Jason Matthew Biggs (Pompton Plains, 12 de maio de 1978) é um ator americano que obteve fama em 1999 quando interpretou Jim Levenstein no filme American Pie.
   
Carreira
Biggs começou a atuar com cinco anos. Em 1991, estreou na televisão com uma passagem curta pelo série Drexell's Class da Fox Network. Ele também fez um especial da HBO, The Fotis Sevastakis Story, entretanto devido a diversos fatores, nunca chegou ir para o ar. No mesmo ano, Biggs estreou na Broadway com Conversations with My Father, o que o ajudou lhe abrir o caminho para que  participasse na telenovela diurna, As the World Turns. Foi nomeado para o Emmy de "melhor ator jovem" pelo seu papel na novela.
Biggs estudou na New York University briefly entre 1996–1997, mas logo voltou a atuar e logo  reapareceria em outra série de televisão, em 1997 Camp Stories. Ele passou a fazer American Pie, que se tornou um fenómeno internacional. Depois disso, Biggs estrelou em filmes como Loser em 2000. Entre 2004 e 2005, atuou como um judeu ortodoxo numa comédia de Daniel Glodfarb, Modern Orthodox. Em, 2006, Biggs apareceu no reality show da MTV denominado Blowin' Up com Jamie Kennedy e Stu Stone, sendo encarado como o antagonista pelo público do programa, criando uma certa rivalidade com Kennedy e Stone.
Em 2013, Biggs estava no elenco principal da série de comédia Orange Is the New Black, interpretando Larry Bloom.

Vida pessoal
Biggs tem brincado em entrevistas sobre o facto de que ele frequentemente interpretar, de forma explícita ou implícita, personagens judeus, como em American Pie, e ainda disse que é casado, Darren Silverman (de Saving Silverman); contudo, ele é católico.
  

O quinto álbum de Lenny Kravitz foi lançado há vinte e seis anos

 

5 is the fifth full-length studio album by American rock musician Lenny Kravitz, released on May 12, 1998, by Virgin Records. The album produced six singles released over the course of 1998 and 1999. 

The album featured such hits as "Fly Away" and "I Belong to You", which helped Kravitz to expand his success in Europe. The album won two Grammy Awards.

5 was re-issued in 1999, including Lenny Kravitz's latest single from the soundtrack of Austin Powers: The Spy Who Shagged Me, "American Woman", plus a bonus track called "Without You" - initially a B-side to the lead single, "If You Can't Say No".

Initially, the album received mediocre reviews by some critics, and its rise to commercial success was quite slow, until it gained traction towards the end of 1998 and throughout 1999 producing a string of worldwide hits and becoming one of the most successful albums of 1999. Despite paling in comparison in US chart position with Kravitz's other albums, it managed to have a remarkably long chart-life, charting for nearly three years straight on the Billboard 200, two of which were spent in the top 100.

The album gained Kravitz multiple awards nominations and gave him his first two Grammy Awards in the Best Male Rock Vocal Performance category for the hits "Fly Away" and "American Woman".

 

in Wikipédia

 


Perry Como morreu há vinte e três anos...

  
 

 


Porque os anjos também nos deixam - o do Gueto de Varsóvia faleceu há dezasseis anos...

     
Irena Sendler, em polaco: Irena Sendlerowa, nascida Krzyżanowska (Varsóvia, 15 de fevereiro de 1910 - Varsóvia, 12 de maio de 2008), também conhecida como "O Anjo do Gueto de Varsóvia," foi uma ativista católica dos direitos humanos durante a Segunda Guerra Mundial, tendo contribuído para salvar mais de 2.500 vidas ao conseguir que várias famílias cristãs escondessem filhos de judeus no seio do seu lar e ao levar alimentos, roupas e medicamentos às pessoas barricadas no gueto, com risco da própria vida. 
   
A mãe das crianças do Holocausto
Cquote1.svg A razão pela qual resgatei as crianças tem origem no meu lar, na minha infância. Fui educada na crença de que uma pessoa necessitada deve ser ajudada com o coração, sem importar a sua religião ou nacionalidade. Cquote2.svg
- Irena Sendler
  
Quando a Alemanha nazi invadiu o país, em 1939, Irena era assistente social no Departamento de Bem Estar Social de Varsóvia, trabalhava com enfermeiras e organizava espaços de refeição comunitários da cidade com o objetivo de responder às necessidades das pessoas que mais necessitavam. Graças a ela, esses locais não só proporcionavam comida para órfãos, anciãos e pobres, como lhes entregavam roupas, medicamentos e dinheiro. Ali trabalhou incansavelmente para aliviar o sofrimento de milhares de pessoas, tanto judias como católicas.
Em 1942, os nazis criaram um gueto em Varsóvia, e Irena, horrorizada pelas condições em que ali se sobrevivia, uniu-se ao Conselho para a Ajuda aos Judeus, Zegota. Ela mesma contou:
  
   
Quando Irena caminhava pelas ruas do gueto, levava uma braçadeira com a estrela de David, como sinal de solidariedade e para não chamar a atenção sobre si própria. Pôs-se rapidamente em contacto com famílias, a quem propôs levar os seus filhos para fora do gueto, mas não lhes podia dar garantias de êxito. Eram momentos extremamente difíceis, quando devia convencer os pais a que lhe entregassem os seus filhos e eles lhe perguntavam:
"Podes prometer-me que o meu filho viverá?". Disse Irena, "O que poderia prometer, quando nem sequer sabia se conseguiriam sair do gueto." A única certeza era a de que as crianças morreriam se permanecessem lá. Muitas mães e avós eram reticentes na entrega das crianças, algo absolutamente compreensível, mas que viria a se tornar fatal para muitas crianças. Algumas vezes, quando Irena ou as suas companheiras voltavam a visitar as famílias para tentar fazê-las mudar de opinião, verificavam que todos tinham sido levados para os campos da morte.
Ao longo de um ano e meio, até à evacuação do gueto no Verão de 1942, conseguiu resgatar mais de 2.500 crianças por várias vias: começou a recolhê-las em ambulâncias como vítimas de tifo, mas logo se valia de todo o tipo de subterfúgios que servissem para os esconder: sacos, cestos de lixo, caixas de ferramentas, carregamentos de mercadorias, sacos de batatas, caixões... nas suas mãos qualquer elemento transformava-se numa via de fuga.
Irena vivia os tempos da guerra pensando nos tempos de paz e por isso não fica satisfeita só por manter com vida as crianças. Queria que um dia pudessem recuperar os seus verdadeiros nomes, as suas identidades, as suas histórias pessoais e as suas famílias. Concebeu então um arquivo no qual registava os nomes e dados das crianças e as suas novas identidades.
Os nazis souberam dessas atividades e, em 20 de outubro de 1943, Irena Sendler foi presa pela Gestapo e levada para a prisão de Pawiak, onde foi brutalmente torturada. Num colchão de palha encontrou uma pequena estampa de Jesus Misericordioso com a inscrição: "Jesus, em Vós confio", e conservou-a consigo até 1979, quando a ofereceu ao Papa João Paulo II.
Ela, a única que sabia os nomes e moradas das famílias que albergavam crianças judias, suportou a tortura e negou-se a trair seus colaboradores ou as crianças ocultas. Quebraram-lhe os ossos dos pés e das pernas, mas não conseguiram quebrar a sua determinação. Foi condenada à morte. Enquanto esperava pela execução, um soldado alemão levou-a para um "interrogatório adicional".
Ao sair, gritou-lhe em polaco "Corra!". No dia seguinte Irena encontrou o seu nome na lista de polacos executados. Os membros da Żegota tinham conseguido deter a execução de Irena subornando os alemães, e Irena continuou a trabalhar com uma identidade falsa.
Em 1944, durante o revolta de Varsóvia, colocou as suas listas em dois frascos de vidro e enterrou-os no jardim de uma vizinha para se assegurar de que chegariam às mãos indicadas se ela morresse. Ao acabar a guerra, Irena desenterrou-os e entregou as notas ao doutor Adolfo Berman, o primeiro presidente do comité de salvação dos judeus sobreviventes. Lamentavelmente, a maior parte das famílias das crianças tinha sido morta nos campos de extermínio nazis.
De início, as crianças que não tinham família adotiva foram cuidadas em diferentes orfanatos e, pouco a pouco, foram enviadas para a Palestina.
As crianças só conheciam Irena pelo seu nome de código "Jolanta". Mas anos depois, quando a sua fotografia saiu num jornal depois de ser premiada pelas suas ações humanitárias durante a guerra, um homem chamou-a por telefone e disse-lhe:
  
  
E assim começou a receber muitas chamadas e reconhecimentos públicos.
Em 1965, a organização Yad Vashem de Jerusalém outorgou-lhe o título de Justa entre as Nações e nomeou-a cidadã honorária de Israel.
Em novembro de 2003 o presidente da República Aleksander Kwaśniewski, concedeu-lhe a mais alta distinção civil da Polónia: a Ordem da Águia Branca. Irena foi acompanhada pelos seus familiares e por Elżbieta Ficowska, uma das crianças que salvou, que recordava como "a menina da colher de prata".
        

Antonio Vega, dos Nacha Pop, morreu há quinze anos...

    
Antonio Vega Tallés (Madrid, 16 de diciembre de 1957 - Majadahonda, Madrid, 12 de mayo de 2009)​ fue un compositor y cantante español. En 1978 formó junto a su primo Nacho García Vega el grupo Nacha Pop, originado en otra banda, Uhu Helicopter, de la que provenían ambos. Su disco de presentación se editó en 1980, separándose el grupo en 1988 tras una exitosa carrera con seis álbumes de estudio y uno en directo. Vega comenzó entonces su carrera como solista, en la que editaría cinco discos de estudio, un álbum en directo y un recopilatorio de colaboraciones con otros artistas.
Antonio Vega ha sido considerado uno de los compositores fundamentales del pop español desde la llegada de la democracia.​ El intimismo de sus canciones y su sensibilidad le ganaron la admiración de crítica y público.
     
(...) 
     
Antonio Vega tenía desde los ochenta graves problemas debido a su drogodependencia, un hecho que con el tiempo había dejado de ser un secreto para el público, debido a su deterioro físico, para convertirse en un componente más de su aura de cantante maldito.
El 20 de abril de 2009 fue ingresado en el Hospital Puerta de Hierro de Madrid debido a una neumonía aguda que le obligó a suspender su gira.​ Falleció el 12 de mayo siguiente, a los 51 años de edad, a consecuencia de un cáncer de pulmón que le habían diagnosticado meses antes.
    

 


Manuel Alegre - 88 anos...!


Manuel Alegre de Melo Duarte  (Águeda, 12 de maio de 1936) é um escritor e político português.
Filho de Francisco José de Faria e Melo Ferreira Duarte, que jogou na Académica e foi campeão de atletismo, e da sua mulher, Maria Manuela Alegre de Melo Duarte, a sua família tem referências na política - um dos seus ascendentes esteve nas revoltas contra D. Miguel I, tendo sido decapitado na Praça Nova do Porto - e no desporto - o próprio Manuel Alegre sagrou-se campeão nacional de natação e foi atleta internacional da Associação Académica de Coimbra nessa modalidade. A sua infância e juventude encontram-se retratadas no romance Alma (1995).
À exceção dos primeiros estudos, feitos em Águeda, frequentou diversos estabelecimentos de ensino: fez o primeiro ano do liceu no Passos Manuel, em Lisboa, no segundo esteve três meses como aluno interno no Colégio Almeida Garrett, no Cartaxo, seis meses no Colégio Castilho, em São João da Madeira, e depois foi para o Porto, concluindo os estudos secundários no Liceu Central Alexandre Herculano. Aí fundou, com José Augusto Seabra, o jornal Prelúdio.
Em 1956 entra na Faculdade de Direito da Universidade de Coimbra. Pouco depois entra nos grupos de oposição de estudantes ao Salazarismo por via de uma amiga sua. Torna-se militante do Partido Comunista Português em 1957, que viria a abandonar em 1968. É membro da Comissão da Academia quando esta apoia a candidatura de Humberto Delgado à Presidência da República, em 1958. Participou ainda na fundação do Círculo de Iniciação Teatral da Academia de Coimbra e foi ator do Teatro de Estudantes da Universidade de Coimbra, deslocando-se para atuar em Bruxelas (1958), Cabo Verde (1959) e Bristol (1960).
Em 1960 publica poemas nas revistas Briosa (que dirigiu), Vértice e Via Latina, participando ainda na coletânea A Poesia Útil e Poemas Livres, juntamente com Rui Namorado, Fernando Assis Pacheco e José Carlos Vasconcelos.
Em 1961 é chamado a cumprir serviço militar e assenta praça na Escola Prática de Infantaria, em Mafra, de onde sai, pouco depois, para a Ilha de São Miguel. Em 1962 é mobilizado para Angola, onde é preso pela PIDE, em 1963. Regressado a Portugal, é-lhe fixada residência em Coimbra. Em 1964 exila-se em Paris.
Chegado a Paris em julho de 1964, participa na Terceira Conferência e é eleito para um cargo na Direção da Frente Patriótica de Libertação Nacional, presidida por Humberto Delgado. Isto dar-lhe-á a possibilidade de depor perante as Nações Unidas, como representante dessa organização, sobre a sua experiência em Angola, e contactar com os líderes dos movimentos africanos de libertação, como Agostinho Neto, Eduardo Mondlane, Samora Machel, Amílcar Cabral, Mário Pinto de Andrade e Aquino de Bragança. Em 1964 parte para o exílio, em Argel, onde é locutor da emissora de rádio A Voz da Liberdade.
Nessa emissora difunde conteúdos contra o regime anti-democrático português. Entretanto os seus dois primeiros livros, Praça da Canção (1965) e O Canto e as Armas (1967), são apreendidos pela censura, mas cópias manuscritas ou dactilografadas circulam de mão em mão, clandestinamente. Poemas seus, cantados, entre outros, por Zeca Afonso e Adriano Correia de Oliveira, Manuel Freire e Luis Cília tornam-se emblemas da luta clandestina.
Em 1968, afasta-se do Partido Comunista Português para aderir à Ação Socialista Portuguesa.
Uma década depois de ter partido para Argel regressa a Portugal, onde chega a 2 de maio de 1974. Entra nos quadros da Radiodifusão Portuguesa, como diretor dos Serviços Recreativos e Culturais, e é um dos fundadores (com Piteira Santos, Nuno Bragança e outros) dos Centros Populares 25 de Abril, uma organização que pretendia um papel cívico, complementar ao dos partidos.
Ainda em 1974 adere ao Partido Socialista, de que foi dirigente nacional. Estreia-se como deputado na Assembleia Constituinte, em 1975. É deputado à Assembleia da República a partir de 1976, integrando também o I Governo Constitucional (de Mário Soares), primeiro como Secretário de Estado da Comunicação Social, depois como Secretário de Estado Adjunto do Primeiro-Ministro para os Assuntos Políticos. Também no Parlamento foi presidente da Comissão Parlamentar de Negócios Estrangeiros, vice-presidente da Delegação Parlamentar Portuguesa ao Conselho da Europa, vice-presidente do Grupo Parlamentar do PS e vice-presidente da Assembleia da República. Em 2004 foi candidato a secretário-geral do PS, perdendo para José Sócrates. Em 2006 foi candidato independente às eleições presidenciais, tendo obtido mais votos que Mário Soares, então candidato oficial do PS. Após essas eleições funda o Movimento de Intervenção e Cidadania. Em 2009 cessa o seu último mandato como deputado à Assembleia da República, após trinta e quatro anos no Parlamento. Mantém-se como membro do Conselho de Estado e das Ordens Honoríficas de Portugal. Em 2010 anuncia a sua candidatura às eleições presidenciais de 2011, conseguindo o apoio do PS, do BE, bem como dos dirigentes do MIC.
No total foi deputado 34 anos. Reforma-se após deixar o parlamento. Aufere uma reforma de 3219,95€ (para a qual contaram os descontos efetuados como deputado), uma subvenção vitalícia superior a dois mil euros mensais. A sua reforma foi motivo de diversos boatos nos meios de comunicação social, que foram levados a Tribunal, culminando no pagamento a Manuel Alegre de uma indemnização no valor de quarenta mil euros, como compensação por danos morais em virtude de notícia, publicada em junho de 2006, no jornal diário Correio da Manhã, e que lhe imputava o recebimento de uma reforma superior a três mil euros por escassos meses de trabalho na RDP, esquecendo os mais de 30 anos em que Manuel Alegre descontou para a Caixa Geral de Aposentações enquanto deputado na Assembleia da República. Manuel Alegre ganhou os recursos em sede de tribunal de primeira instância, de novo na relação de Lisboa, e de novo em sede de Supremo Tribunal de Justiça. Acumula ainda uma subvenção vitalícia superior a dois mil euros mensais, aplicada a todos os titulares de cargos públicos com desempenhos superiores a 12 anos.
Casou duas vezes, primeiro com Isabel de Sousa Pires, de quem não teve filhos, e depois com Mafalda Maria de Campos Durão Ferreira (Lisboa, 13 de dezembro de 1947), de quem tem dois filhos e uma filha.
Além da atividade política, saliente-se o seu proeminente labor literário, quer como poeta, quer como ficcionista. Entre os seus inúmeros poemas musicados contam-se a Trova do vento que passa, cantada por Adriano Correia de Oliveira, Amália Rodrigues, entre muitos outros. Reconhecido além fronteiras, é o único autor português incluído na antologia Cent poemes sur l'exil, editada pela Liga dos Direitos do Homem, em França (1993). Em abril de 2010, a Universidade de Pádua, em Itália, inaugurou a Cátedra Manuel Alegre, destinada ao estudo da Língua, Literatura e Cultura Portuguesas. Pelo conjunto da sua obra recebeu, entre outros, o Prémio Pessoa (1999) e o Grande Prémio de Poesia da Associação Portuguesa de Escritores (1998). É sócio-correspondente da Classe de Letras da Academia das Ciências de Lisboa, eleito em 2005
  
 
  
LIBERDADE

Sobre esta página escrevo
teu nome que no peito trago escrito
laranja verde limão
amargo e doce o teu nome.

Sobre esta página escrevo
o teu nome de muitos nomes feito água e fogo lenha vento
primavera pátria exílio.

Teu nome onde exilado habito e canto mais do que nome: navio
onde já fui marinheiro
naufragado no teu nome.

Sobre esta página escrevo o teu nome: tempestade.
E mais do que nome: sangue. Amor e morte. Navio.

Esta chama ateada no meu peito
por quem morro por quem vivo este nome rosa e cardo
por quem livre sou cativo.

Sobre esta página escrevo o
teu nome: liberdade.
   
  

in A Praça da Canção - Manuel Alegre (3ª Edição -1974)

sábado, maio 11, 2024

Jean-Baptiste Carpeaux nasceu há 197 anos

Autoportrait, dit aussi Dernier autoportrait (1874), huile sur toile - Paris, Musée d'Orsay

Jean-Baptiste Carpeaux, né le , à Valenciennes et mort le , à Courbevoie, est un sculpteur, peintre et dessinateur français


La Jeune Fille à la coquille, à Valenciennes 

A tempestade solar está a trazer auroras boreais até ao céu do nosso país...!

Aurora boreal visível em Portugal



É um espetáculo raro a baixas latitudes, mais comum nos céus nórdicos, mas desta vez foi mesmo visível em Portugal. A noite desta sexta-feira ficou marcada por auroras boreais visíveis em vários países, em latitudes mais baixas do que o habitual, incluindo no território português.

 

in Público

Carlos Lyra nasceu há noventa e um anos...

    
Carlos Eduardo Lyra Barbosa (Rio de Janeiro, 11 de maio de 1933 – Rio de Janeiro, 16 de dezembro de 2023) foi um cantor, compositor e guitarrista brasileiro. Juntamente com Roberto Menescal, era uma das figuras jovens da bossa nova. Fez parte de uma bossa nova mais ativista, propondo o retorno do ritmo às suas raízes no samba.
 

 


Eric Burdon nasceu há oitenta e três anos


Eric Victor Burdon (Walker, Newcastle upon Tyne, 11 May 1941) is an English singer-songwriter. He was previously the lead vocalist of R&B and rock band The Animals and funk band War. He is regarded as one of the British Invasion's most distinctive singers with his deep, powerful blues-rock voice. He is also known for his aggressive stage performances.

In 2008, he was ranked 57th in Rolling Stone's list of "The 100 Greatest Singers of All Time".
 
 

A nódoa lamentável da história portuguesa chamada Afonso Costa morreu há 87 anos

Afonso Costa salta de um elétrico em movimento (3 de julho de 1915)

 

Afonso Augusto da Costa (Seia, 6 de março de 1871 - Paris, 11 de maio de 1937) foi um advogado, professor universitário, político republicano e estadista português.
Foi um dos principais obreiros da implantação da República em Portugal e uma das figuras dominantes da Primeira República.
   
 
  
NOTA: republicamos, novamente, um antigo mas excelente texto, para quem quiser conhecer melhor este senhor:


Qual é coisa, qual é ela, que entra pela porta e sai pela janela?

 

Afonso Costa não é, como escreveu A. H. de Oliveira Marques, o mais querido e o mais odiado dos Portugueses. É, com certeza, uma das figuras mais ridículas e abjetas da História de Portugal, epítome do que constituiu a I República, ou seja, um regime de vale-tudo, de ameaças, de extorsões, de perseguições e ódios. Afonso Costa jamais foi querido. Foi sempre temido, odiado, repudiado e no fim respeitado, pois ser amado significava perder a força necessária à consolidação da sua obra. A República Portuguesa, sobretudo nos seus defeitos (sim, porque não podemos esconder-lhe algumas virtudes) foi da sua lavra. Desde a tentativa de erradicação da Igreja Católica, às sovas que deu ou mandou dar aos seus opositores, passando pelos pequenos furtos ou os grandes roubos em que esteve envolvido, sem qualquer pejo, embaraço ou vergonha. Como escreveu Fernando Pessoa: «Não podendo Afonso Costa fazer mais nada, é homem para mandar assassinar. Tudo depende do seu grau de indignação.». Ora, a indignação de Afonso Costa teve vários graus, tantos ou mais do que aqueles que subiu na hierarquia da Maçonaria que o acolhia com fraternidade. Aliás, a raiva deste paladino da República nunca foi elitista, faça-se-lhe justiça: tanto se dirigia a monárquicos como a republicanos, dependendo de quem se atrevia a fazer-lhe frente.
Político experimentado dos últimos anos do rotativismo e da experiência do franquismo, Afonso Costa sabia uma coisa: para governar um país como Portugal, a Democracia só podia vir depois. Mais, o primeiro passo para mandar nos portugueses, não é suspender o Parlamento, ou calar a Imprensa, é alimentar o mais possível o caciquismo e os clientelismos. Por isso, com uma mestria nem sequer igualada pelo seu sucessor das Finanças a partir de 1926, rodeou-se da família, criando uma Dinastia de Costas (a expressão aparece na sua correspondência), leal, forte, incorruptível (na qual a sua mulher teve um papel fundamental, mesmo apesar de às mulheres a República ter negado o direito ao voto), distribuiu benesses aos mais próximos, amigos ou inimigos, mantendo-os no bolso como qualquer bom gangster o faria.
Contudo, Costa tinha um lado medroso que faz dele esse político tão extraordinário e vivo da nossa História. Rodeava-se da púrria (adolescentes vadios e marginais a quem oferecia bombas e armas para assustar a população) e ele próprio manejava a pólvora como ninguém; por outro lado era incapaz de enfrentar um opositor num frente a frente. E tinha medo, muito medo, do próprio terror que lançara. Quando, em 1917, Sidónio o mandou ir prender ao Porto, andou escondido em guarda-fatos e dali saiu apupado por uma fila de mulheres. Passou vexames inacreditáveis: viu a sua casa ser esbulhada de alguns dos objetos que ele tinha furtado nos Palácios Reais e um dia de julho de 1915, seguindo num elétrico atirou-se pela janela fora ao som e à vista de um clarão que pensava vir de uma bomba. Não fora um atentado, apenas um curto-circuito…estatelou-se no chão de onde foi levantado pelos transeuntes em estado grave e, durante meses e anos a fio, Lisboa transformou esta cena patética numa adivinha popular: Qual é coisa, qual é ela, que entra pela porta e sai pela janela?
Afonso Costa participou em negociatas e estranhos casos de favorecimento. Desapareceram processos durante o seu ministério na Justiça e não poucas vezes viu o Parlamento envolvê-lo na “roubalheira” de que fala Raul Brandão e na qual políticos e militares participavam. Em França um banqueiro virou-se para António Cabral, ex-ministro da Monarquia perguntando-lhe: - “Conhece um tal de Afonso Costa, em Portugal”. António Cabral disse que sim, que o conhecia bem… ao que o capitalista respondeu – “Pois deve ser um dos homens mais ricos do seu país, dada a quantia que possui na conta que por cá abriu…”
Nada o detia. Para além de manipular a legislação a seu favor (algo que facilmente podia fazer, dado que controlava, a partir da proeminência do seu Partido Democrático, veja-se o Caso das Binubas, de que hoje ninguém fala…) executava malabarismos financeiros, como o que envolveu a sua mulher, para quem fez desviar, sob a desculpa da caridade, meio milhão de francos, destinados à Comissão de Hospitalização da Cruzada das Mulheres Portuguesas, de que a D. Alzira Costa era presidente.
Claro está que no meio de governos maioritários, ditatoriais e não fiscalizados, no meio do clima de terror que Afonso Costa ajudara a criar e mantinha para sua segurança e a da própria República, os roubos não só eram frequentes, como absolutamente seguros (prova-o a “habilidade” de Alves dos Reis, em 1925). Nenhuma investigação, sendo efetivamente aberta, levaria a alguma condenação. Não deixa de ser curioso que às despesas e aos roubos que os republicanos faziam questão de apontar antes de 1910 tornaram-se frequentíssimos durante os loucos anos da I República: armamento, fardas militares, promiscuidades várias com empresas estrangeiras, etc, etc.
Através da figura de Afonso Costa é fácil entender as atuais comemorações do Centenário e como, a meio deste ano de 2010, os seus mandatários resolveram assumir a celebração dos primeiros anos da República, evitando assim o Estado Novo e, na 3.ª República, fugir à inevitável glorificação de uma certa “oposição” não socialista. É que a Primeira República, intolerante e exclusiva como hoje alguns dos seus admiradores é a melhor e talvez a única maneira de regressar às raízes e à autenticidade da República Portuguesa tal qual ela foi gizada.
Nuno Resende - daqui

Renaud - 72 anos

   
Renaud Séchan (Paris, 11 de maio de 1952) é um cantautor e ator francês.
Com 26 álbuns e quase 20 milhões de cópias vendidas, Renaud é um dos cantores francófonos mais populares, que usa a música para criticar a sociedade.

Nasceu no 15º arrondissement de Paris em 1952, e desde jovem comprometeu-se na esquerda radical e anárquica. Escreveu sua primeira canção em 1968, enquanto participava da ocupação da Sorbonne para o Comité Révolutionnaire d’Agitation Culturelle.

Seu primeiro LP é de 1975 pela Polydor, mas foi muito criticado como subversivo e recusado por muitas rádios.

Na década de 80, lança também livros e é ator de alguns filmes, como por exemplo na película Germinal de Claude Berri, do romance de Émile Zola, juntamente com Gérard Depardieu e Miou-Miou.

Em 1988 lança a peça Putain de camion (Camião de merda) dedicado ao grande amigo Coluche, falecido em um acidente em 1986.

Na década de 90, passou por um momento difícil da vida com uma crise pessoal e artística de sete anos que o fez cair no alcoolismo. Saiu da crise em 2002 com o álbum Boucan d'enfer que vendeu mais de um milhão de cópias.

 
  

 


Saudades de Bob Marley...

O naturalista Petrus Camper nasceu há 302 anos

  
Petrus Camper (Leiden, 11 de maio de 1722 - Haia, 7 de abril de 1789) foi um anatomista, antropólogo, fisiologista, parteiro, zoólogo, paleontólogo e naturalista holandês na Idade do Iluminismo. Ele foi um dos primeiros a se interessar por anatomia comparada, paleontologia e ângulo facial. Ele foi um dos primeiros a definir uma "antropologia", que distinguiu da história natural. Ele estudou o orangotango, o rinoceronte de Java e o crânio de um mosassauro, que ele acreditava ser duma baleia. Camper era uma celebridade na Europa e tornou-se membro da Royal Society (1750), Göttingen (1779) e da Academia Russa de Ciências (1778), da Royal Society of Edinburgh (1783), da francesa (1786) e da prussiana Academia de Ciências (1788). Ele projetou e construiu ferramentas para seus pacientes e para cirurgias. Ele era desenhista amador, escultor, patrono da arte e um político monárquico conservador. Camper publicou algumas palestras contendo um relato de sua craniometria. Isso lançou a base de todo o trabalho subsequente. 
 
Imagem de um homem com base nas medições do Petrus Camper
   

Petrus Camper é conhecido por sua teoria do ângulo facial (prognatismo). Ele determinou que os humanos tinham ângulos faciais entre 70° e 80°, com ângulos africanos e asiáticos mais próximos de 70° e europeus mais próximos de 80. De acordo com sua nova técnica de retratos, um ângulo é formado pelo desenho de duas linhas: uma horizontalmente a partir de a narina até a orelha e a outra perpendicularmente da parte avançada do osso maxilar superior até a parte mais proeminente da testa. Ele afirmou que as estátuas greco-romanas antigas apresentavam um ângulo de 100°-95°, europeus de 80°, 'orientais' de 70°, negros de 70° e orangotango de 42-58°. Ele afirmou que, de todas as raças, os africanos eram os mais distantes do senso clássico de beleza ideal. Esses resultados foram posteriormente usados ​​como racismo científico, com pesquisas continuadas por Étienne Geoffroy Saint-Hilaire e Paul Broca.

Camper, no entanto, concordou com Buffon em traçar uma linha nítida entre humanos e animais (embora tenha sido mal interpretado por Diderot, que alegou ser um defensor da teoria da Grande Cadeia do Ser). Camper confirmou a classificação das espécies por Lineu.
 

Richard Wagner nasceu há 211 anos...


 

Wilhelm Richard Wagner (Leipzig, 22 de maio de 1813 - Veneza, 13 de fevereiro de 1883) foi um maestro, compositor, diretor de teatro e ensaísta alemão, primeiramente conhecido por suas óperas (ou "dramas musicais", como ele posteriormente lhes chamou). As composições de Wagner, particularmente essas do fim do período, são notáveis por suas texturas complexas, harmonias ricas e orquestração, e o elaborado uso de Leitmotiv: temas musicais associados com caráter individual, lugares, ideias ou outros elementos. Por não gostar da maioria das outras óperas de compositores, Wagner escreveu simultaneamente a música e libreto, para todos os seus trabalhos.
Inicialmente estabeleceu a sua reputação como um compositor de trabalhos como Der fliegende Holländer e Tannhäuser, transformando assim as tradições românticas de Carl Maria von Weber e Giacomo Meyerbeer em um pensamento operístico de seu conceito de Gesamtkunstwerk. Isso permitiu atingir a síntese de todas as artes poéticas, visuais, musicais e dramáticas e foi anunciada uma série de ensaios entre 1849 e 1852. Wagner percebeu esse conceito mais plenamente na primeira parte do monumental ciclo de quarto partes da ópera Der Ring des Nibelungen. Entretanto, seus pensamento sobre a importância da música e drama mudaram novamente e ele reintroduziu algumas formas tradicionais da ópera em seu último estágio de trabalhos, incluindo Die Meistersinger von Nürnberg.
Wagner foi o pioneiro em avanços da linguagem musical, tais como o cromatismo extremo e a rápida mudança dos centros tonais, que muito influenciou no desenvolvimento da música erudita europeia. A sua ópera Tristan und Isolde é algumas vezes descrita como um marco do início da música moderna. A influência de Wagner vai além da música, é também sentida na filosofia, literatura, artes visuais e teatro. Ele teve sua própria casa de ópera, o Bayreuth Festspielhaus. Foi nessa casa que Ring e Parsifal tiveram suas premières mundiais e onde suas obras mais importantes continuam a ser produzidas até hoje, em um festival anual dirigido por seus descendentes. A sua extensa obra sobre música, drama e política tem atraído extensos comentários, em recentes décadas, especialmente onde existe o conteúdo anti-semita.
Wagner conquistou tudo isso, apesar de viver até suas últimas décadas em exílio político, amores turbulentos, pobreza e fuga de seus credores. O impacto de suas ideias pode ser sentido em muitas artes do longo de todo o século XX.