terça-feira, maio 12, 2020

O Irmão Roger, da Comunidade de Taizé, nasceu há 105 anos...

  
Frère Roger, de son nom d'état civil Roger Schutz, né le 12 mai 1915 à Provence (Vaud, Suisse) et mort le 16 août 2005 à Taizé (Saône-et-Loire, France) est le fondateur de la communauté de Taizé.
   
Roger Schutz est le dernier des neuf enfants du pasteur protestant originaire de Bachs (Suisse), Karl Ulrich Schütz, et Amélie Henriette Schütz-Marsauche, une protestante française originaire de Bourgogne.
Il naît et passe son enfance et sa jeunesse à Provence où son père est pasteur de la paroisse. De 1937 à 1940, Roger étudie la théologie réformée à Strasbourg et à Lausanne.
En 1940, à vingt-cinq ans, il décide d'aller partager en France le sort de ce pays occupé. «De Genève, je suis parti à bicyclette pour la France, cherchant une maison où prier, où accueillir et où il y aurait un jour cette vie de communauté.»
C'est à Taizé, un petit village de Bourgogne où les habitants l'accueillent chaleureusement, qu'il choisit de vivre. Au début de la guerre il accueille des dizaines de réfugiés juifs avec sa sœur Geneviève. En 1942 il rentre en Suisse et apprend qu'il ne peut retourner à Taizé car il a été dénoncé. En 1944 il retourne à Taizé et vient en aide aux prisonniers de guerre allemands.
«Dans ma jeunesse, j'étais étonné de voir des chrétiens qui, tout en se référant à un Dieu d'amour, perdaient tant d'énergie à justifier des oppositions. Et je me disais: pour communiquer le Christ, y a-t-il réalité plus transparente qu'une vie donnée, où jour après jour la réconciliation s'accomplit dans le concret ? Alors j'ai pensé qu'il était essentiel de créer une communauté avec des hommes décidés à donner toute leur vie et qui cherchent à se réconcilier toujours.»
Au fil des ans se développe la communauté de Taizé. En 1949, ils sont sept hommes à s'engager pour la vie dans la chasteté. Peu à peu d'autres compagnons se joignent à frère Roger: la communauté se compose à l'heure actuelle d'une centaine de frères venant d'une trentaine de nations et qui sont catholiques et de diverses origines évangéliques. À partir des années 1950, certains frères allèrent vivre en des lieux défavorisés pour se tenir aux côtés de ceux qui souffrent. Ils sont aujourd'hui au Brésil, au Sénégal, au Bangladesh, en Corée du Sud. La communauté n'accepte pour elle-même aucun don et cadeau. Les frères gagnent leur vie par leur travail. Leurs héritages personnels, ils les donnent aux plus démunis.
La confiance que témoigne au fondateur de Taizé le pape Jean XXIII joue un rôle important dans l'histoire de frère Roger. «Ah! Taizé, ce petit printemps!» dira un jour Jean XXIII en accueillant frère Roger. Des mots que Jean-Paul II reprendra lors de sa visite à Taizé le 5 octobre 1986, ajoutant: «On passe à Taizé comme on passe près d'une source » Invité par Jean XXIII, frère Roger vivra à Rome avec quelques frères de sa communauté tout le concile Vatican II.
   
Au milieu des années 1960, frère Roger, conscient des mutations profondes qui travaillent la société, demande aux frères de la communauté de se préparer à comprendre les jeunes, de les écouter. Frère François de Taizé écrivait, dans La Croix du 2 septembre 2005: «Déjà avant l’éclatement de 1968, il a senti venir cette rupture: dès 1966 il nous demandait de nous préparer à accueillir particulièrement des jeunes et d’imaginer quelle adaptation réclamerait cet accueil.» Frère Roger lui-même pratiquera cette écoute chaque soir dans l'église de la réconciliation. Les jeunes ont commencé à se rendre à Taizé dès la fin des années cinquante et n'ont cessé d'augmenter en nombre. Ils participent à des rencontres qui vont d'un dimanche à l'autre. Environ cent mille jeunes séjournent à Taizé chaque année.
À partir de 1962, des frères et des jeunes, envoyés par Taizé, n'ont cessé de se rendre dans les pays d'Europe de l'Est, dans la plus grande discrétion pour ne pas compromettre ceux qu'ils soutenaient.
De 1962 à 1989, frère Roger lui-même a visité la plupart des pays d’Europe de l’Est, parfois pour des rencontres de jeunes, autorisées mais très surveillées, parfois pour de simples visites, sans possibilité de parler en public («Je me tairai avec vous», disait-il aux chrétiens de ces pays).
Frère Roger voyagera aussi à travers le monde, parfois pour vivre simplement parmi les pauvres (Calcutta, mer de Chine, un bidonville de Nairobi, le Sahel, d'où il écrira à chaque séjour une lettre adressée aux jeunes, parfois pour animer des rencontres qui font partie d'un « pèlerinage de confiance à travers la terre » : Madras (Inde), Manille (Philippines), Johannesbourg (Afrique du Sud), U.S.A., Canada, Chili. Son objectif: encourager les jeunes à être porteurs de confiance et de réconciliation là où ils vivent, unissant dans leur existence vie intérieure et solidarité humaine.
Au lendemain de sa mort, Bruno Frappat écrivait dans La Croix (27-28 août 2005) : «Frère Roger, sans doute, aura été l’un des plus immenses de nos contemporains. (...) Pas un fondateur d’empire. Pas un potentat de l’industrie ou du commerce. Pas un vaniteux de la notoriété médiatique. Pas un opulent du patrimoine et des biens fugitifs. Il n’a rien laissé de concret, de matériel, de palpable, de négociable. Il a fondé une parcelle d’humanité. Comme réinventé une manière d’être humain. Avec les mots de tous.»
  
D'origine protestante, frère Roger Schutz s'est, au cours des années, rapproché de Rome et de la foi catholique, prenant ses distances avec la Fédération protestante de France et plus encore avec l’ecclésiologie protestante, se prononçant notamment en faveur du célibat des prêtres et d’un ministère universel du pape. En 1980, lors d’une rencontre européenne de jeunes à Rome, en présence du pape Jean-Paul II, il affirma publiquement en ces termes, dans la basilique Saint-Pierre : «J’ai trouvé ma propre identité de chrétien en réconciliant en moi-même la foi de mes origines avec le mystère de la foi catholique, sans rupture de communion avec quiconque
Cette évolution et, plus encore, la révélation de l’ordination comme prêtre catholique du frère Max Thurian en 1987, restée cachée pendant un an, ont semé le doute et provoqué de fortes tensions avec le protestantisme français. L'affaire Max Thurian « demeure une blessure, voire un traumatisme indépassable » pour certains protestants français qui «considèrent que Taizé s’est définitivement catholicisé» et ne peut plus être un «moteur de l’œcuménisme».
Jean-Claude Escaffit et Moïz Rasiwala rapportent, par ailleurs, le «trouble profond» ressenti par le fondateur de Taizé en apprenant l'ordination au sacerdoce catholique de Max Thurian, qui lui aurait été annoncée par lettre une semaine après, dans la perspective des conséquences désastreuses que cela pouvait avoir sur les relations œcuméniques. Par ailleurs, les auteurs affirment que Frère Roger, «à l'instar de tous les frères de Taizé», quelle que soit leur confession, communiait ouvertement et officiellement à l'eucharistie catholique, depuis 1972, date de l'engagement du premier frère catholique dans la communauté.
En 2006, l'historien Yves Chiron, proche des catholiques traditionalistes, a affirmé qu'il se serait converti au catholicisme en 1972 en compagnie de son bras droit, Max Thurian, et la profession de foi catholique aurait été reçue alors par l'évêque d'Autun, MgrArmand Le Bourgeois, sans que cela soit annoncé publiquement. Ceci a été démenti par frère Alois, successeur de frère Roger. Celui-ci explique qu'il n'y a pas de conversion à proprement parler ni de rupture avec ses origines mais une volonté de rapprochement tandis que le pasteur Gill Daudé, responsable du service des relations œcuméniques de la Fédération protestante de France parle lui de démarche de dépassement des clivages confessionnels. MgrGérard Daucourt, membre du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, indique pour sa part que frère Roger n'a pas triché «en cachant une conversion au catholicisme au sens où on l’entend habituellement». Il «partageait la foi catholique dans le ministère et dans l’Eucharistie», «il vénérait la Vierge Marie» et espérait «une proche restauration de l’unité visible entre tous les chrétiens», mais en voulant «vivre cela sans rupture avec quiconque».
   
      
Le 16 août 2005, alors qu'il participait comme tous les soirs de l'année à la prière commune avec plusieurs milliers de jeunes pèlerins présents à Taizé durant les Journées mondiales de la jeunesse 2005 qui se déroulaient à Cologne, le frère Roger, qui a alors quatre-vingt-dix ans, est poignardé mortellement par Luminita Solcan, une déséquilibrée âgée de trente-six ans qui avait réussi à s'introduire au milieu du chœur des Frères.
Ses funérailles se déroulent le 23 août 2005 en l'église de la Réconciliation de Taizé en compagnie des membres de la communauté de Taizé et de personnalités politiques et religieuses parmi lesquelles Horst Köhler, président de l'Allemagne, Nicolas Sarkozy, ministre français de l'Intérieur et ministre chargé des cultes, le pasteur Jean-Arnold de Clermont, président du Conseil de la Fédération protestante de France, l'évêque luthérien Wolfgang Huber, président de l'Église évangélique en Allemagne, l'archiprêtre Mikhail Gundyaev, représentant du Patriarcat orthodoxe de Moscou, en présence de plus de douze mille personnes.
Au cours de la messe concélébrée par le cardinal Walter Kasper, président du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, et quatre prêtres de Taizé, celui-ci a lu un message du pape Benoît XVI accordant sa bénédiction apostolique.
Le frère Roger est inhumé dans le cimetière du village. Sa succession à la tête de la communauté est assurée par frère Aloïs, catholique d'origine allemande, désigné par frère Roger en personne quelques années auparavant.
    
  

 

Billy Duffy, o guitarrista dos The Cult, faz hoje 59 anos

   
Billy Duffy (nascido William Henry Duffy, a 12 de maio de 1961, em Hulme, Manchester) é um guitarrista e compositor inglês, mais conhecido por ser membro integrante da banda britânica The Cult.
  
    
  

segunda-feira, maio 11, 2020

Carlos Lyra nasceu há 81 anos

 
   
Carlos Eduardo Lyra Barbosa (Rio de Janeiro, 11 de maio de 1939) é um cantor, compositor e violonista brasileiro. Junto com Roberto Menescal, era uma das figuras jovens da bossa nova. Fez parte de uma bossa nova mais ativista, propondo o retorno do ritmo às suas raízes no samba.
De entre as suas canções mais famosas podem citar-se "Maria Ninguém", "Minha Namorada", "Ciúme", "Lobo bobo", "Menina", "Maria Moita" e "Se é tarde me perdoa".
   
    
  

Christoph Doom Schneider, o baterista dos Rammstein, faz hoje 54 anos

Doom Schneider, chamado Christoph Schneider (Berlim, 11 de maio de 1966), é um músico alemão, conhecido por ser o baterista da banda de metal industrial alemão Rammstein.
É o segundo irmão mais velho de uma família com 7 filhos. Cresceu ao lado da sua mãe, cinco irmãs e do seu irmão Stephan. Depois de Stephan, Christoph é o mais velho da família. Uma das suas irmãs, Constanze, é a designer das roupas dos Rammstein. Em 1980, quando tinha 14 anos, o seu irmão deu-lhe uma bateria, que havia feito com latas de alumínio. Aos 16 anos saiu da escola e começou a trabalhar como assistente de instalador de telefones. Em 1984, com 18 anos, ele entrou para o exército. Schneider é o único membro da banda que prestou serviço militar.
Em 1985-86 deixou o emprego com telefones e tentou entrar numa universidade, para estudar música. Nunca foi admitido, mesmo tentando duas vezes. Não foi aprovado pelo que sabia de bateria e Schneider teria que saber trompete. Desde então tentou entrar em diversas bandas. Aos 24 anos era de uma banda chamada Die Firma e de outras bandas. Em 1994, Till Lindemann, Richard Kruspe, Oliver Riedel e Christoph "Doom" Schneider entraram e ganharam o concurso Berlin Senate Metro, possibilitando a gravação de quatro faixas demos.
   
    

Salvador Dalí nasceu há 116 anos

    
Salvador Domingo Felipe Jacinto Dali i Domènech, 1º Marquês de Dalí de Púbol (Figueres, 11 de maio de 1904 - Figueres, 23 de janeiro de 1989), conhecido apenas como Salvador Dalí, foi um importante pintor catalão, conhecido pelo seu trabalho surrealista. O trabalho de Dalí chama a atenção pela incrível combinação de imagens bizarras, oníricas, com excelente qualidade plástica. Dalí foi influenciado pelos mestres do Renascimento. O seu trabalho mais conhecido, A Persistência da Memória, foi concluído em 1931. Salvador Dalí teve também trabalhos artísticos no cinema, escultura, e fotografia. Ele colaborou com a Disney no curta de animação Destino, que foi lançado postumamente, em 2003, e, ao lado de Alfred Hitchcock, no filme Spellbound. Também foi autor de poemas dentro da mesma linha surrealista.
Dalí insistiu na sua "linhagem árabe", alegando que os seus antepassados eram descendentes de mouros que ocuparam o sul da Espanha durante quase 800 anos (711 a 1492), e atribui a isso o seu amor de tudo o que é excessivo e dourado, sua paixão pelo luxo e seu amor oriental por roupas. Tinha uma reconhecida tendência a atitudes e realizações extravagantes destinadas a chamar a atenção, o que por vezes aborrecia aqueles que apreciavam a sua arte, ao mesmo tempo que incomodava os seus críticos, já que sua forma de estar teatral e excêntrica tendia a eclipsar o seu trabalho artístico.
  
Biografia
Salvador Domingo Felipe Jacinto Dalí i Domènech nasceu às 08.45 horas de 11 de maio de 1904, no número vinte da carrer (rua) Monturiol da vila de Figueres, na Catalunha, em Espanha. O seu irmão mais velho, também chamado Salvador (nascido a 12 de outubro de 1901), morreu de gastroenterite, nove meses antes, em 1 de agosto de 1903. O seu pai, Salvador Dalí i Cusí, era um advogado de classe-média, figura popular da cidade e senhor de um caráter irascível e dominador; a sua mãe, Felipa Domenech Ferrés, sempre incentivou os esforços artísticos do filho. Dalí também teve uma irmã, Ana Maria, que era três anos mais nova. Em 1949, ela publicou um livro sobre o seu irmão, "Dalí visto pela sua irmã".
Dalí frequentou a Escola de Desenho Federal, onde iniciou a sua educação artística formal. Em 1916, durante umas férias de verão em Cadaquès, passadas com a família de Ramón Pichot, descobriu a pintura impressionista. Pichot era um artista local que fazia viagens frequentes a Paris. No ano seguinte, o pai de Dalí organizou uma exposição dos desenhos a carvão do filho na sua casa de família. A sua primeira exposição pública ocorreu no Teatro Municipal em Figueres em 1919.
Em fevereiro de 1921 a sua mãe morreu, de cancro da mama. Dalí, então com dezasseis anos de idade, disse depois da morte da sua mãe: "foi o maior golpe que eu havia experimentado em minha vida. Eu adorava-a… eu não podia resignar-me a perda de um ser com quem eu contei para tornar invisíveis as inevitáveis manchas da minha alma". Após a morte de Felipa Domenech Ferrés, o pai de Dalí casou-se com a irmã da falecida esposa. Dalí não se ressentiu com este casamento, como alguns pensaram, pois tinha um grande amor e respeito pela sua tia. 
   
Aprendizagem - Madrid e Paris
Em outubro de 1921, Dalí foi viver para Madrid, onde estudou na Academia de Artes de San Fernando. Já então Dalí chamava a atenção nas ruas com um excêntrico cabelo comprido, um grande laço ao pescoço, calças até ao joelho, meias altas e casacos compridos. O que lhe granjeou maior atenção por parte dos colegas foram os quadros onde fez experiências com o cubismo (embora na época destes primeiros trabalhos ele provavelmente não compreendesse por completo o movimento cubista, dado que tudo o que sabia dessa arte provinha de alguns artigos de revistas e de um catálogo que Ramon Pichot lhe oferecera, visto não haver artistas cubistas, neste tempo, em Madrid).
Fez também experiências com o Dadaísmo, que provavelmente influenciou todo o seu trabalho. Nesta altura, tornou-se amigo íntimo do poeta Federico García Lorca e de Luis Buñuel. Dalí foi expulso da Academia em 1926, pouco tempo depois dos exames finais, em que declarou que ninguém na Academia era suficientemente competente para o avaliar. O seu domínio de competências na pintura está bem documentado, nesse tempo, na sua impecável e realista pintura "Cesto de Pão", de 1926.
Em 1924 o ainda desconhecido Salvador Dalí ilustrava pela primeira vez um livro, o poema"Les bruixes de Llers" ( "As bruxas de Llers") de seu amigo, o poeta e jornalista catalão Carles Fages de Climent.
Nesse mesmo ano fez a sua primeira viagem a Paris, onde se encontrou com Pablo Picasso, que era admirado pelo jovem Dalí. ("Vim vê-lo antes de ir ao Louvre", disse-lhe Dalí. "Fez você muito bem", respondeu-lhe Picasso.) Picasso já tinha ouvido falar bem de Dalí através de Juan Miró. Nos anos seguintes, Dali realizou uma série de trabalhos fortemente influenciados por Picasso e Miró, enquanto ia desenvolvendo o seu estilo próprio. Algumas tendências no trabalho de Dalí que iriam permanecer ao longo de toda a sua carreira já eram evidentes na década de 1920, principalmente por Raphael, Bronzino, Francisco de Zurbarán, Vermeer, e Velázquez. As exposições dos seus trabalhos em Barcelona despertaram grande atenção e uma mistura de elogios e debates e causando por parte dos críticos. Nesta época, Dalí deixou crescer o bigode, que se tornou emblemático nele, estilo baseado no pintor do século XVII espanhol Diego Velázquez.
Em 1929, colaborou com o cineasta espanhol Luis Buñuel no curta-metragem Un Chien Andalou, e conheceu, em agosto, a sua musa e futura mulher, Gala Éluard (cujo nome verdadeiro é Elena Ivanovna Diakonova, nascida a 7 de setembro de 1894, em Kazan, Tartária, Rússia), uma imigrante russa dez anos mais velha que Dalí, casada na época com o poeta surrealista Paul Éluard. Juntou-se oficialmente ao grupo surrealista no bairro parisiense de Montparnasse (embora o seu trabalho já estivesse a ser influenciado há dois anos pelo surrealismo). Em 1934 Dalí e Gala, que já viviam juntos desde 1929, casaram-se numa cerimónia civil (cerimónia religiosa em 1958).
     
Política e personalidade
A política desempenhou um papel significativo na sua emergência como um artista. Ele foi por vezes retratado como um apoiante do autoritário Francisco Franco. André Breton, líder do movimento surrealista, fez um grande esforço para dissociar o seu nome do surrealismo. A realidade é provavelmente um pouco mais complexa. Em qualquer caso, ele não era um anti-semita, pois era inclusive amigo do famoso arquiteto e designer Paulo László, que era judeu. Ele também tinha grande admiração por Freud (a quem ele conheceu), e Einstein, ambos judeus.
Em sua juventude, Dalí abraçou por um tempo tanto o anarquismo como o comunismo. Em seu livro, Dalí, em 1970, declara-se um anarquista e monárquico. Enquanto na cidade de Nova Iorque em 1942, denunciou o seu colega, o cineasta surrealista Luis Buñuel como ateu e comunista, o que levou Buñuel a ser despedido da sua posição no Museu de Arte Moderna e, posteriormente, constar na lista negra da indústria cinematográfica dos Estados Unidos.
Com a eclosão da Guerra Civil Espanhola, Dalí fugiu e recusou-se a alinhar com qualquer grupo. Após o seu regresso à Catalunha, após a Segunda Guerra Mundial, Dalí tornou-se mais próximo do regime de Francisco Franco. Alguns declararam que Dalí apoiou o regime de Franco, felicitando-o por suas ações, em "limpar a Espanha de forças destrutivas". Dizem que enviou uma mensagem a Franco, "elogiando-lhe por assinar a sentença de morte de presos políticos." Dalí encontro Franco uma vez mas nem sequer se reuniu pessoalmente com ele para pintar um retrato da sua neta. É impossível determinar se as suas homenagens a Franco foram sinceras ou caprichosas, uma vez que ele também enviou um telegrama louvando o romeno Nicolae Ceauşescu, líder comunista. O jornal diário romeno "Scînteia" publicou-o, sem suspeitar do seu aspecto de troça.
Em 1960, Dalí começou a trabalhar no Teatro-Museum Salvador Dalí, na sua terra natal, em Figueres. Foi o projeto de maior vulto de toda a sua carreira e o principal foco de suas energias até 1974, embora continuasse a fazer acrescentos até meados dos de 1980.
Gala morreu em Port Lligat, na madrugada de 10 de junho de 1982. Desde então, Dalí ficou profundamente deprimido e desorientado, perdendo toda a vontade de viver. Recusava-se a comer, ficando desidratado, teve de ser alimentado por uma sonda nasal. Em 1980, um conjunto de medicamentos não prescritos danificou o seu sistema nervoso, provocando assim um inoportuno fim à sua capacidade artística. Aos 76 anos, Dalí começa a sofrer tremores terríveis ao seu lado direito, causado pela doença de Parkinson.
Mudou-se de Figueres para o castelo em Pubol, que comprara para Gala. Em 1984, deflagrou um incêndio no seu quarto em circunstâncias pouco claras - talvez tenha sido uma tentativa de suicídio de Dalí, talvez tenha sido uma tentativa de homicídio de um empregado, ou talvez simples negligência do seu pessoal - mas Dalí foi salvo e levado para Figueres, onde um grupo de amigos, patronos e artistas se assegurou de que o pintor vivesse confortavelmente os seus últimos anos no teatro-museu.
Em novembro de 1988 Dalí foi levado ao hospital com insuficiência cardíaca e em 5 de dezembro de 1988 foi visitado pelo Rei Juan Carlos da Espanha, que confessou ter sido sempre um devoto de Dalí. Em 23 de janeiro de 1989, morreu, de insuficiência cardíaca, em Figueres, com a idade de 84, sendo sepultado na cripta do seu Teatro-Museu Dalí, em Figueres, do outro lado da rua, a partir da igreja de Sant Pere, onde ocorreram o seu funeral, primeira comunhão e batismo, a três quarteirões da casa onde nasceu.
  
Brasão do Marquês de Dalí de Púbol
          
       
Crucificação (Corpus Hypercubus
  
Cristo de São João da Cruz (1951)

Bob Marley morreu há 39 anos...

   
Robert Nesta Marley, mais conhecido como Bob Marley (Nine Mile, 6 de fevereiro de 1945 - Miami, 11 de maio de 1981), foi um cantor, guitarrista e compositor jamaicano, o mais conhecido músico de reggae de todos os tempos, famoso por popularizar o género. Marley já vendeu mais de 75 milhões de discos. A maior parte do seu trabalho lidava com os problemas dos pobres e oprimidos. Levou, através de sua música, o movimento rastafari e suas ideias de paz, irmandade, igualdade social, libertação, resistência, liberdade e amor universal ao mundo. A música de Marley foi fortemente influenciada pelas questões sociais e políticas de sua terra natal, fazendo com que considerassem-no a voz do povo negro, pobre e oprimido da Jamaica. A África e seus problemas como a miséria, guerras e domínio europeu também foram centro de assunto das suas músicas, por se tratar da terra sagrada do movimento rastafari.
Hoje pode ser considerado o primeiro e maior astro musical do Terceiro Mundo e a maior voz deste. Suas músicas mais conhecidas são "I Shot the Sheriff", "No Woman, No Cry", " Could You Be Loved", "Stir It Up", "Get Up, Stand Up", "Jamming", "Redemption Song", "One Love/People Get Ready" e "Three Little Birds", e também lançamentos póstumos como "Buffalo Soldier" e "Iron Lion Zion". A coletânea Legend, lançada três anos após a sua morte e que reúne algumas músicas de álbuns do artista, é o álbum de reggae mais vendido da história. Bob foi casado com Rita Marley (de 1966 até à morte), uma das I Threes, que passaram a cantar com os Wailers depois que eles alcançaram sucesso internacional. Ela foi mãe de quatro de seus doze filhos (dois deles adotados), os bastante conhecidos Ziggy e Stephen Marley, que continuam o legado musical de seu pai na banda Melody Makers. Outros de seus filhos, Ky-Mani Marley, Julian Marley e Damian Marley (vulgo Jr. Gong) também seguiram carreira musical. Foi eleito pela revista Rolling Stone o 11º maior artista da música de todos os tempos.
  
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Após uma tournée europeia, com uma vasta agenda marcada, Bob Marley e a banda partiram para os Estados Unidos, quando fizeram dois shows no Madison Square Garden. Durante a segunda apresentação, Bob sentiu-se mal no palco e começou a ser averiguado o que se passava com o ídolo do reggae. Bob, embora com problemas de saúde, chegou a fazer ainda mais um show em Pittsburgh, no dia 23 de setembro de 1980 (último show de Bob Marley), mas logo o mundo recebeu a triste notícia de que o astro do Reggae tinha cancro. A doença teria sido decorrente de um ferimento infetado no dedo grande do pé, que ele teria sofrido em 1977, durante uma partida de futebol em Londres. A ferida, quando feita, não havia cicatrizado, e sua unha posteriormente havia caído; foi então que o diagnóstico correto foi feito. Marley na verdade sofria de uma espécie de cancro da pele, chamado melanoma maligno, que se desenvolveu sob a sua unha. Os médicos aconselharam-no a amputar o dedo, porém Marley recusou-se a fazê-lo devido à sua filosofia rastafari, de que o corpo é um templo que ninguém pode modificar (motivo pelos quais os rastas deixam crescer a barba e os dreadlocks). Ele também estava preocupado com o impacto da operação em sua dança; a amputação afetaria profundamente sua carreira no momento em que se encontrava no auge.
O cancro espalhou-se para o cérebro, o pulmão e o estômago. Ele lutou contra a doença durante oito meses, buscando tratamento na clínica do Dr. Joseph Issels na Alemanha, no final de 1980 e início de 1981. Durante algum tempo, o estado de Marley parecia ter estabilizado com o tratamento naturalista do doutor alemão.
Em maio de 1981, quando o Dr. Joseph Issels anuncia que nada mais poderia ser feito. Bob Marley, já abatido pela doença, resolveu regressar para a sua casa na Jamaica,  para passar os seus últimos dias junto da família e amigos. Ele não conseguiu completar a viagem, tendo que ser internado num hospital de Miami. A sua mãe segurava a sua mão em pranto enquanto Bob a consolava, pedindo que secasse as lágrimas, dizendo: "Mãezinha, não chores. Vou à frente para prepararte um lugar." Faleceu pouco antes do meio-dia de 11 de maio de 1981, menos de 40 horas depois de deixar a Alemanha.
   
    
   

Douglas Adams morreu há dezanove anos

   
Douglas Noël Adams (Cambridge, 11 de março de 1952 - Santa Bárbara, 11 de maio de 2001) foi um escritor e comediante britânico, famoso por ter escrito textos para a série televisiva Monty Python's Flying Circus, junto com os integrantes desse grupo de humor nonsense, e pela série de rádio, jogos e livros The Hitchhiker's Guide to the Galaxy.
Os fãs e amigos de Adams o descreveram também como um ativista ambiental, um assumido ateu radical e amante dos automóveis possantes, câmaras, computadores Macintosh e outros 'apetrechos tecnológicos'. O biólogo Richard Dawkins dedicou-lhe o seu livro The God Delusion e nele descreve como Adams compreendeu a teoria da evolução e se tornou um ateu. Adams era um entusiasta de novas tecnologias, tendo escrito sobre email e usenet antes de tornarem-se amplamente conhecidos. Até o fim de sua vida, Adams foi um famoso professor de tópicos que incluíam ambiente e tecnologia.
   
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Adams morreu de um ataque cardíaco em 11 de maio de 2001, aos 49 anos, depois de descansar de seus exercícios regulares numa academia particular em Montecito, Califórnia. O seu funeral foi realizado a 16 de maio em Santa Bárbara. As suas cinzas foram colocadas no Cemitério de Highgate, no norte de Londres, em junho de 2002. Um serviço memorial foi realizado em 17 de setembro de 2001 na igreja de St. Martin-in-the-Fields, em Trafalgar Square, Londres.
Em maio de 2002, o livro O Salmão da Dúvida foi publicado, contendo muitos contos, ensaios e cartas, bem como elogios de Richard Dawkins, Stephen Fry (na edição do Reino Unido), Christopher Cerf (na edição dos EUA) e Terry Jones (na edição de bolso dos EUA). Ele também inclui onze capítulos de seu romance inacabado, O Salmão da Dúvida, que foi originalmente planeado para se tornar um novo romance de Dirk Gently, mas poderia ter se tornado o sexto romance do Hitchhiker.
Outros eventos após a morte de Adams incluíram uma produção webcast de Shada, permitindo que a história completa fosse contada, dramatizações de rádio dos três últimos livros da série Hitchhiker e a conclusão da adaptação cinematográfica do livro À Boleia Pela Galáxia. O filme, lançado em 2005, postumamente creditou a Adams como produtor, e vários elementos de design - incluindo um planeta em forma de cabeça visto perto do final do filme - incorporaram os recursos de Adams.
Uma série de rádio de 12 partes baseada nos romances de Dirk Gently foi anunciada em 2007.
Em 25 de maio de 2001, duas semanas após a morte de Adams, os seus fãs organizaram uma homenagem conhecida como Dia da Toalha, que tem sido lembrada todos os anos desde então.
Uma rua em São José (SC) é nomeada em homenagem a Adams.
   
in Wikipédia

domingo, maio 10, 2020

Música e dança adequadas à data...



Poesia declamada adequada à data...



Música adequada à data...!





Artur Paredes, pai de Carlos Paredes e filho de Gonçalo Paredes, nasceu há 121 anos

(imagem daqui)
  
Artur Paredes (Coimbra, 10 de maio de 1899 - Lisboa, 20 de dezembro de 1980) foi um compositor e intérprete de guitarra portuguesa. É por muitos considerado o criador de uma sonoridade própria para a guitarra de Coimbra, distinguindo-a assim da guitarra de Lisboa. Ele nasceu numa família de músicos, o seu pai era o também guitarrista Gonçalo Paredes, que também era um compositor. O seu filho foi Carlos Paredes, nascido em 1925, que também se tornou guitarrista. Artur Paredes revolucionou a afinação e o estilo de acompanhamento para o Fado de Coimbra, acrescentando o seu nome aos músicos mais progressistas e inovadores.
 
   

Há 87 anos os nazis começaram a Queima de Livros...

    
Bücherverbrennung significa, em alemão, literalmente, Queima de Livros. É um termo muitas vezes associado à ação propagandística dos nazis, organizada entre 10 de maio e 21 de junho de 1933, poucos meses depois da chegada ao poder de Adolf Hitler. Em várias cidades alemãs foram organizadas queimas de livros em praças públicas, com a presença da polícia, bombeiros e outras autoridades.
Tudo o que fosse crítico ou se desviasse dos padrões impostos pelo regime nazi foi destruído. Centenas de milhares de livros foram queimados no auge de uma campanha iniciada pelo diretório nacional de estudantes (Verbindungen).
Os estudantes, em particular os estudantes membros das Verbindungen, membros das SA e SS participaram nestas queimas. A organização deste evento coube às associações de estudantes alemãs NSDStB e a ASTA, que com grande zelo competiram entre si tentando cada uma provar que era melhor do que a outra. Foram queimados milhares de cerca de 20.000 títulos de livros, a maioria dos quais pertencentes às bibliotecas públicas, de autores oficialmente tidos como "pouco alemães" (undeutsch).
O poeta nazi Hanns Johst foi um dos que justificou a queima, logo depois da ascensão dos nazis ao poder, com a "necessidade de purificação radical da literatura alemã de elementos estranhos que possam alienar a cultura alemã".
    
Autores banidos
Entre os livros queimados pelos Nazis contavam-se obras quer de autores falecidos como também contemporâneos, perseguidos pelo regime, muitos deles tendo emigrado. Na lista encontramos entre outros:
"Queimem os meus livros!"
Oskar Maria Graf não foi incluído na lista. Para seu espanto, os seus livros não foram banidos como até foram recomendados pelos nazis. Em resposta, ele publicou um artigo intitulado "Verbrennt mich! (Queimem-me!) no jornal de Viena "Arbeiter-Zeitung" (Jornal dos Trabalhadores). Em 1934 o seu desejo foi tornado realidade e os seus livros foram também banidos pelos nazis.
   
Repercussão
A opinião pública e a intelectualidade alemãs ofereceram pouca resistência à queima. Editoras e distribuidoras reagiram com oportunismo, enquanto a burguesia nada fez, passando a responsabilidade para os universitários. Também os outros países acompanharam a destruição de forma distanciada, chegando a minimizar a queima como resultado do "fanatismo estudantil".
Entre os poucos escritores que reconheceram o perigo e tomaram uma posição estava Thomas Mann, que havia recebido o Nobel de Literatura em 1929. Em 1933, ele emigrou para a Suíça e, em 1939, para os Estados Unidos. Quando a Faculdade de Filosofia da Universidade de Bona lhe retirou o título de Doutor Honoris Causa, ele escreveu ao reitor: "Nestes quatro anos de exílio involuntário, nunca parei de meditar sobre minha situação. Se tivesse ficado ou retornado à Alemanha, talvez já estivesse morto. Jamais sonhei que no fim da minha vida seria um emigrante, despojado da nacionalidade, vivendo desta maneira!"
Também Ricarda Huch se retirou da Academia Prussiana de Artes. Na carta ao seu presidente, em 9 de abril de 1933, a escritora criticou os ditames culturais do regime nazi: "A centralização, a opressão, os métodos brutais, a difamação dos que pensam diferente, os auto-elogios, tudo isso não combina com meu modo de pensar", justificou. Em 1934, a "lista negra" incluía mais de três mil obras proibidas pelos nazis.
Como disse o poeta Heinrich Heine: "Onde se queimam livros, acaba por se queimar pessoas."
   
Memorial sobre a queima de livros, no chão de Praça de Römerberg, à frente da Câmara de Frankfurt
    
Outros
Em Munique foi usada a Königsplatz, no dia 10 de maio de 1933 e, em Berlim, a Opernplatz. A Deutsche Freiheitsbibliothek (Biblioteca Alemã da Liberdade), inaugurada em Paris um ano depois da queima de livros, reuniu obras de autores banidos (mais de onze mil volumes), por Heinrich Mann.
  
  
Do Sacrifício de Isaac


Queimarás o monte, o filho, a lenha
A morte, as areias, a viagem
O deserto, a túnica, as estrelas

Nunca será bastante o incêndio

 

in Dos Líquidos (2000) - Daniel Faria

Fred Astaire nasceu há 121 anos

   
Fred Astaire, nome artístico de Frederick Austerlitz (Omaha, 10 de maio de 1899 - Los Angeles, 22 de junho de 1987) foi um ator e dançarino dos Estados Unidos de origem judaica. Era filho de Frederic e Ann Austerlitz, ele austríaco (chegou aos Estados Unidos em 1892) e ela descendente de alemães, nascida nos Estados Unidos.
   

João Villaret nasceu há 107 anos

(imagem daqui)
   
João Henrique Pereira Villaret (Lisboa, 10 de maio de 1913 - Lisboa, 21 de janeiro de 1961) foi um ator, encenador e declamador português.
  
Teatro
Depois de frequentar o Conservatório Nacional de Teatro, começou por integrar o elenco da companhia de teatro lisboeta Amélia Rey Colaço-Robles Monteiro.
Mais tarde, fez parte da companhia teatral Os Comediantes de Lisboa, fundada em 1944 por António Lopes Ribeiro e o seu irmão Francisco, mais conhecido por Ribeirinho.
Teve uma interpretação considerada antológica na peça Esta Noite Choveu Prata, de Pedro Bloch, em 1954, no extinto Teatro Avenida, em Lisboa.
  
Cinema
No cinema, Villaret surge em:
   
Declamador

Nos anos 1950, com o aparecimento da televisão, transpõe para este meio de comunicação a experiência que adquirira no palco e em cinema, assim como em programas radiofónicos. Aos domingos declamava na RTP, com graça e paixão, poemas dos maiores autores nacionais.
Ficaram célebres, entre outras, as suas interpretações de:
Encontram-se no mercado edições, em CD, do trabalho de Villaret como declamador.
  
Música
Na música é de destacar, pela sua originalidade:
Fado falado, de Aníbal Nazaré e Nelson de Barros (1947), na revista Tá Bem ou Não 'Tá?, onde se pode ouvir: «Se o fado se canta e chora, também se pode falar».
   
Homenagens
A 2 de abril de 1960 foi feito Oficial da Ordem Militar de Sant'Iago da Espada. Em Loures há uma Escola com o nome de João Villaret. A escola ensina desde o 5º até ao 9º ano.
   

Joaquim Agostinho morreu há 36 anos

(imagem daqui)
   
Joaquim Agostinho (Torres Vedras, 7 de abril de 1943 - Lisboa, 10 de maio de 1984) foi um ciclista português. Morreu, depois de dez dias em coma, em consequência de uma queda sofrida numa etapa da X Volta ao Algarve.
   
(imagem daqui)
   
Joaquim Agostinho começou a praticar ciclismo no Sporting Clube de Portugal, equipa que o descobriu ao treinar perto de Casalinhos de Alfaiata em Torres Vedras, começando a praticar já com 25 anos de idade, mas ainda conseguiu evoluir de tal forma que é usualmente referido como o melhor ciclista português de todos os tempos.
A sua carreira internacional começou em 1968, depois de ter sido observado pelo director desportivo francês Jean de Gribaldy, obtendo resultados de destaque na Volta a Espanha, vários dias de amarelo e um segundo lugar final, distando apenas 11 segundos da vitória, e na Volta a França onde terminou duas vezes no pódio e venceu a mítica etapa do Alpe d'Huez.
A 30 de abril de 1984, quando liderava a X Volta ao Algarve, na 5ª. etapa. A 300 metros da meta, um cão atravessou-se no seu caminho, o que o fez cair, provocando-lhe uma fractura craniana - algum tempo depois afirmou-se que as consequências deste acidente poderiam ser menores se Joaquim levasse capacete. Levantou-se, voltou a montar na bicicleta e terminou a etapa com a ajuda de dois colegas. As dores persistentes na cabeça levaram-no a ingressar no hospital de Loulé, onde o seu estado de saúde agravou-se drasticamente. Foi evacuado de emergência, de helicóptero, para o hospital da CUF, em Lisboa. Após 10 intervenções cirúrgicas e de permanecer 10 dias em coma, faleceu a 10 de maio, poucos minutos antes das 11.00 horas. Foi enterrado na sua terra natal. 
   
Monumentos e homenagens
  • Em Torres Vedras, no topo do Parque Verde da Várzea foi edificado um monumento em homenagem a Joaquim Agostinho.
  • No jardim da Silveira também foi construído um monumento em homenagem ao atleta e foi inaugurado a 14 de maio de 1989.
  • Também em Silveira, foi dado o nome de Avenida Joaquim Agostinho à avenida onde se localizam a Junta de Freguesia bem como o cemitério onde o ciclista está sepultado.
  • À avenida principal de acesso ao centro da Praia de Santa Cruz, com início na rotunda do Parque de Campismo, foi dado o nome de Avenida Joaquim Agostinho.
  • Em França, na 14.ª curva do Alpe d'Huez. O busto é em bronze e em alto-relevo, tendo 1,70 m de altura, 70 cm de largura, e pesando 70 kg. Está apoiado num pedestal com três metros de altura, de granito verde. A estátua é comemorativa da sua vitória na mítica etapa com chegada ao Alpe d'Huez, em 1979, ano em que terminou o Tour em terceiro lugar pela segunda vez. Nunca outro ciclista português venceu esta etapa.
  • Em Lisboa, tem uma rua com o seu nome, na zona do Lumiar.
   
Carreira e vitórias
Descoberto por Jean de Gribaldy, Joaquim Agostinho competiu como profissional entre 1968 e 1984, passando pelas seguintes equipas:
  • Sporting: 1968-1973, 1975 e 1984
  • Frimatic - de Gribaldy: 1969-1970
  • Hoover: 1971
  • Magniflex - de Gribaldy: 1972
  • Bic: 1973, 1974
  • Teka: 1976, 1977
  • Flandria: 1978, 1979
  • Puch-Sem-Campagnolo: 1980
  • Sem-France Loire: 1981, 1983
  • Sporting Lisboa-Raposeira: 1984
   
Etapas míticas
  • Alpe d'Huez (Tour) - 1979
  • Cangas de Oniz (Vuelta); San Sebastián (Contra-relógio individual) (Vuelta) - 1974
  • Torre (Volta a Portugal) - 1971, 1973
  • Penhas da Saúde (Volta a Portugal) - 1970, 1971
  • Solothurn Balmberg (Volta à Suíça) - 1972
  • Puerto del Léon (Vuelta) - 1972
  • Côte de Laffrey (Tour) - 1971
  • First plan (Tour) - 1969
  • Grammont (Tour) - 1971
  • Manse (Tour) - 1972
  • Lautaret (Tour) - 1972
  • Hundruck (Tour) - 1972
  • Oderen (Tour) - 1972
  • Lalouvesc (Tour) - 1977
  • Croix de Chabouret (Tour) - 1977
  
Volta a Portugal
  • 1968 (2º lugar)
  • 1969 (7º lugar) (vencedor de 1 etapa)
  • 1970 (1º lugar) (vencedor de 4 etapas)
  • 1971 (1º lugar) (vencedor de 8 etapas)
  • 1972 (1º lugar) (vencedor de 5 etapas)
  
Volta a França
  • 1969 (8º lugar) (vencedor de 2 etapas)
  • 1970 (14º lugar)
  • 1971 (5º lugar)
  • 1972 (8º lugar)
  • 1973 (8º lugar) (vencedor de 1 etapa)
  • 1974 (6º lugar)
  • 1975 (15º lugar)
  • 1977 (13º lugar)
  • 1978 (3º lugar)
  • 1979 (3º lugar) (vencedor de 1 etapa)
  • 1980 (5º lugar)
  • 1983 (11º lugar)
   
Volta a Espanha
  • 1973 (6º lugar)
  • 1974 (2º lugar) (vencedor de 2 etapas)
  • 1976 (7º lugar) (vencedor de 1 etapa)
  • 1977 (15º lugar)
   
Campeonato do Mundo de Estrada
  • 1968 - 16º lugar
  • 1969 - 15º lugar
  • 1972 - 42º lugar
  • 1973 - 20º lugar
   
Campeonato Nacional Estrada
  • 6 Campeonatos Nacionais de Estrada (1968 - 1973)
  • 1 Campeonato Nacional de Perseguição Individual (1971)
  • 2 Campeonatos Nacionais de contra-relógio por equipas (1968 - 1969)
   

Bono Vox faz hoje sessenta anos!

   
Paul David Hewson (Dublin, 10 de maio de 1960), mais conhecido por seu nome artístico Bono é um cantor e músico irlandês vocalista principal da banda de rock irlandesa U2. Bono nasceu e cresceu em Dublin, na Irlanda, onde conheceu a sua esposa, Alison Stewart, e os membros dos U2. Bono escreve todas as letras da banda, muitas vezes usando temas sociais, religiosos e políticos. Durante os seus primeiros anos, as letras de Bono contribuíram para o tom espiritual e rebeldia dos U2. Conforme a banda amadureceu, as suas letras tornaram-se mais inspiradas por experiências pessoais, compartilhadas com os restantes membros da banda.
Fora da banda, colaborou e gravou com vários artistas, faz parte da direção da Elevation Partners, e possui um hotel, o The Clarence Hotel, em Dublin, em conjunto com The Edge. Bono também é amplamente conhecido pelo seu ativismo relativos a África, para o qual co-fundou DATA, EDUN, a ONE Campaign e Product Red. Organizou e tocou em vários shows beneficentes e se reuniu com políticos influentes. Bono tem sido elogiado e criticado por seu ativismo e envolvimento com o U2. Foi nomeado para o prémio Nobel da Paz, foi concedido um honorário cavaleiro pela rainha Rainha Elizabeth II, e foi nomeado como "Personalidade do Ano" pela revista Time, conquistando muitos outros prémios e nomeações.
   
   
  

sábado, maio 09, 2020

Europa, querida Europa...


  
  
Fausto - Europa, querida Europa
  
Europa nascida na Ásia profunda
ó filha do rei fenício Agenor
que Zeus entranhado no corpo de um touro
levou-te p'ra Creta cativo de amor
Europa é de Homero
de helénicas formas
do fórum romano e da cruz
de tantas nações
ariana e semita
ventre das descobertas
da luz
do diverso sistema do modo diferente
da era da guerra e agora da paz
és assim querida Europa
  
vem que eu te quero toda do mar à montanha
vem que eu quero muito mais bela que o mar
vem vencendo cizânias que os povos sem feudos
sempre se amaram brilhantes em todo o lugar
o teu chão não é traste
de meros mercados
de pauta aduaneira
ou cifrão
é um terrunho de almas
uma ideia
um desejo
de uma nova maneira
em fusão
desfazendo complexos de mapas cor-de-rosa
sem a má consciência no verso e na prosa
só por ti querida Europa
  
para que sejas tu mesma a decidir o teu uso
para que sejas tu mesma ainda mais natural
não me toques o "beat" à americana
que esse já nós conhecemos na versão original
aguenta-te firme
livre de imitações
espera só mais um pouco
já vai
o que resta e o que sobra
aquela mesma saudade
toda a imaginação
ainda mais
não sentes um vago um suave cheiro a sardinhas
a algazarra nas ruas e o troar dos tambores
somos nós querida Europa