sexta-feira, maio 12, 2023

Katharine Hepburn nasceu há 116 anos...

  

Katharine Houghton Hepburn (Hartford, 12 de maio de 1907 - Old Saybrook, 29 de junho de 2003) foi uma atriz dos Estados Unidos. Considerada por muitos como a maior atriz da história do cinema, Hepburn foi indicada 12 vezes para o Óscar, que venceu em quatro ocasiões, e foi eleita pelo American Film Institute como a maior estrela feminina de todos os tempos.

A carreira de Hepburn é vista como uma das mais aclamadas de Hollywood e durou por mais de 60 anos. Ela trabalhou com diversos tipos de géneros da comédia ao drama e recebeu quatro prémios do Óscar de Melhor Atriz, marca até hoje não superada por nenhuma outra atriz ou ator. Criada no Connecticut por pais ricos e progressistas, Hepburn começou a atuar enquanto estudava na Bryn Mawr College. Depois de quatro anos no teatro, críticas favoráveis a seu trabalho na Broadway trouxeram-lhe a atenção de Hollywood. Os seus primeiros anos na indústria cinematográfica foram marcados por sucessos, incluindo um Óscar por sua atuação em Morning Glory em 1933, mas este filme foi seguido por uma série de fracassos comerciais. Em 1938 ela foi rotulada como "veneno de bilheteira". Na década de 40 ela foi contratada pela a Metro-Goldwyn-Mayer, onde sua carreira foi focada em uma aliança com Spencer Tracy.

Hepburn alcançou grande sucesso na segunda metade de sua vida, onde ela apareceu em várias produções de Shakespeare. Ela conseguiu aprovação atuando como mulheres de meia-idade, como em The African Queen em 1951. Três Óscares vieram mais tarde por seu trabalho em Adivinhe Quem Vem Para Jantar em 1967, O Leão no Inverno em 1968, e On Golden Pond em 1981. Na década de 1970 ela começou a aparecer em filmes de televisão, que se tornaram o foco de sua carreira mais tarde. Ela permaneceu ativa até à velhice e morreu em 2003, com 96 anos.

  

 

 

A bioquímica Dorothy Crowfoot Hodgkin nasceu há 113 anos

  
Dorothy Mary Crowfoot Hodgkin (Cairo, 12 de maio de 1910 - Ilmington, 29 de julho de 1994) foi uma química britânica.
O seu pai, John Winter Crowfoot foi arqueólogo e era Diretor da Escola Britânica de Arqueologia de Jerusalém e a sua mãe, Grace Mary Crowfoot, participava ativamente nas escavações arqueológicas do marido e trabalhava em tecelagem e botânica.
Dorothy dedicou a adolescência ao estudo de química e à aulas particulares para a aprovação no exame de admissão da Universidade de Oxford, o que conseguiu. Com 18 anos (em 1928) ingressou numa unidade de Oxford só para mulheres.
Em 1937 concluiu o doutoramento na Universidade de Cambridge, onde começou a estudar a estrutura das proteínas e determinou a estrutura da proteína B12 (que lhe deu o Nobel de Química de 1964) e, ainda em 1937, casou com o historiador Thomas Lionel Hodgkin.
Dorothy desenvolveu a cristalografia de raios X, um método usado para determinar a estrutura tridimensional de biomoléculas.
Ela estudou, durante 35 anos, a estrutura da insulina, pois a mesma tinha moléculas grandes e extremamente complexas.
Em 1969 a estrutura foi resolvida. Então Dorothy passou a viajar o mundo dando palestras sobre a insulina e a sua importância para a diabetes.
Devido a um grau avançado de artrite reumatoide que lhe deformou as mãos e pés, teve de usar cadeira do rodas durante muitos anos. Faleceu em 29 de julho de 1994, com 84 anos, devido a um AVC.
   

Jamelão nasceu há cento e dez anos

   
José Bispo Clementino dos Santos, mais conhecido como Jamelão (Rio de Janeiro, 12 de maio de 1913 – Rio de Janeiro, 14 de junho de 2008), foi um cantor brasileiro, tradicional intérprete dos sambas-enredo da escola de samba Mangueira.
   

   

 


O Irmão Roger de Taizé nasceu há 108 anos...

      
Frère Roger, de son nom d'état civil Roger Schutz, né le 12 mai 1915 à Provence (Vaud, Suisse) et mort le 16 août 2005 à Taizé (Saône-et-Loire, France) est le fondateur de la communauté de Taizé.
   
Roger Schutz est le dernier des neuf enfants du pasteur protestant originaire de Bachs (Suisse), Karl Ulrich Schütz, et Amélie Henriette Schütz-Marsauche, une protestante française originaire de Bourgogne.
Il naît et passe son enfance et sa jeunesse à Provence où son père est pasteur de la paroisse. De 1937 à 1940, Roger étudie la théologie réformée à Strasbourg et à Lausanne.
En 1940, à vingt-cinq ans, il décide d'aller partager en France le sort de ce pays occupé. «De Genève, je suis parti à bicyclette pour la France, cherchant une maison où prier, où accueillir et où il y aurait un jour cette vie de communauté.»
C'est à Taizé, un petit village de Bourgogne où les habitants l'accueillent chaleureusement, qu'il choisit de vivre. Au début de la guerre il accueille des dizaines de réfugiés juifs avec sa sœur Geneviève. En 1942 il rentre en Suisse et apprend qu'il ne peut retourner à Taizé car il a été dénoncé. En 1944 il retourne à Taizé et vient en aide aux prisonniers de guerre allemands.
«Dans ma jeunesse, j'étais étonné de voir des chrétiens qui, tout en se référant à un Dieu d'amour, perdaient tant d'énergie à justifier des oppositions. Et je me disais: pour communiquer le Christ, y a-t-il réalité plus transparente qu'une vie donnée, où jour après jour la réconciliation s'accomplit dans le concret ? Alors j'ai pensé qu'il était essentiel de créer une communauté avec des hommes décidés à donner toute leur vie et qui cherchent à se réconcilier toujours.»
Au fil des ans se développe la communauté de Taizé. En 1949, ils sont sept hommes à s'engager pour la vie dans la chasteté. Peu à peu d'autres compagnons se joignent à frère Roger: la communauté se compose à l'heure actuelle d'une centaine de frères venant d'une trentaine de nations et qui sont catholiques et de diverses origines évangéliques. À partir des années 1950, certains frères allèrent vivre en des lieux défavorisés pour se tenir aux côtés de ceux qui souffrent. Ils sont aujourd'hui au Brésil, au Sénégal, au Bangladesh, en Corée du Sud. La communauté n'accepte pour elle-même aucun don et cadeau. Les frères gagnent leur vie par leur travail. Leurs héritages personnels, ils les donnent aux plus démunis.
La confiance que témoigne au fondateur de Taizé le pape Jean XXIII joue un rôle important dans l'histoire de frère Roger. «Ah! Taizé, ce petit printemps!» dira un jour Jean XXIII en accueillant frère Roger. Des mots que Jean-Paul II reprendra lors de sa visite à Taizé le 5 octobre 1986, ajoutant: «On passe à Taizé comme on passe près d'une source » Invité par Jean XXIII, frère Roger vivra à Rome avec quelques frères de sa communauté tout le concile Vatican II.
   
Au milieu des années 1960, frère Roger, conscient des mutations profondes qui travaillent la société, demande aux frères de la communauté de se préparer à comprendre les jeunes, de les écouter. Frère François de Taizé écrivait, dans La Croix du 2 septembre 2005: «Déjà avant l’éclatement de 1968, il a senti venir cette rupture: dès 1966 il nous demandait de nous préparer à accueillir particulièrement des jeunes et d’imaginer quelle adaptation réclamerait cet accueil.» Frère Roger lui-même pratiquera cette écoute chaque soir dans l'église de la réconciliation. Les jeunes ont commencé à se rendre à Taizé dès la fin des années cinquante et n'ont cessé d'augmenter en nombre. Ils participent à des rencontres qui vont d'un dimanche à l'autre. Environ cent mille jeunes séjournent à Taizé chaque année.
À partir de 1962, des frères et des jeunes, envoyés par Taizé, n'ont cessé de se rendre dans les pays d'Europe de l'Est, dans la plus grande discrétion pour ne pas compromettre ceux qu'ils soutenaient.
De 1962 à 1989, frère Roger lui-même a visité la plupart des pays d’Europe de l’Est, parfois pour des rencontres de jeunes, autorisées mais très surveillées, parfois pour de simples visites, sans possibilité de parler en public («Je me tairai avec vous», disait-il aux chrétiens de ces pays).
Frère Roger voyagera aussi à travers le monde, parfois pour vivre simplement parmi les pauvres (Calcutta, mer de Chine, un bidonville de Nairobi, le Sahel, d'où il écrira à chaque séjour une lettre adressée aux jeunes, parfois pour animer des rencontres qui font partie d'un « pèlerinage de confiance à travers la terre » : Madras (Inde), Manille (Philippines), Johannesbourg (Afrique du Sud), U.S.A., Canada, Chili. Son objectif: encourager les jeunes à être porteurs de confiance et de réconciliation là où ils vivent, unissant dans leur existence vie intérieure et solidarité humaine.
Au lendemain de sa mort, Bruno Frappat écrivait dans La Croix (27-28 août 2005) : «Frère Roger, sans doute, aura été l’un des plus immenses de nos contemporains. (...) Pas un fondateur d’empire. Pas un potentat de l’industrie ou du commerce. Pas un vaniteux de la notoriété médiatique. Pas un opulent du patrimoine et des biens fugitifs. Il n’a rien laissé de concret, de matériel, de palpable, de négociable. Il a fondé une parcelle d’humanité. Comme réinventé une manière d’être humain. Avec les mots de tous.»
  
D'origine protestante, frère Roger Schutz s'est, au cours des années, rapproché de Rome et de la foi catholique, prenant ses distances avec la Fédération protestante de France et plus encore avec l’ecclésiologie protestante, se prononçant notamment en faveur du célibat des prêtres et d’un ministère universel du pape. En 1980, lors d’une rencontre européenne de jeunes à Rome, en présence du pape Jean-Paul II, il affirma publiquement en ces termes, dans la basilique Saint-Pierre : «J’ai trouvé ma propre identité de chrétien en réconciliant en moi-même la foi de mes origines avec le mystère de la foi catholique, sans rupture de communion avec quiconque
Cette évolution et, plus encore, la révélation de l’ordination comme prêtre catholique du frère Max Thurian en 1987, restée cachée pendant un an, ont semé le doute et provoqué de fortes tensions avec le protestantisme français. L'affaire Max Thurian « demeure une blessure, voire un traumatisme indépassable » pour certains protestants français qui «considèrent que Taizé s’est définitivement catholicisé» et ne peut plus être un «moteur de l’œcuménisme».
Jean-Claude Escaffit et Moïz Rasiwala rapportent, par ailleurs, le «trouble profond» ressenti par le fondateur de Taizé en apprenant l'ordination au sacerdoce catholique de Max Thurian, qui lui aurait été annoncée par lettre une semaine après, dans la perspective des conséquences désastreuses que cela pouvait avoir sur les relations œcuméniques. Par ailleurs, les auteurs affirment que Frère Roger, «à l'instar de tous les frères de Taizé», quelle que soit leur confession, communiait ouvertement et officiellement à l'eucharistie catholique, depuis 1972, date de l'engagement du premier frère catholique dans la communauté.
En 2006, l'historien Yves Chiron, proche des catholiques traditionalistes, a affirmé qu'il se serait converti au catholicisme en 1972 en compagnie de son bras droit, Max Thurian, et la profession de foi catholique aurait été reçue alors par l'évêque d'Autun, MgrArmand Le Bourgeois, sans que cela soit annoncé publiquement. Ceci a été démenti par frère Alois, successeur de frère Roger. Celui-ci explique qu'il n'y a pas de conversion à proprement parler ni de rupture avec ses origines mais une volonté de rapprochement tandis que le pasteur Gill Daudé, responsable du service des relations œcuméniques de la Fédération protestante de France parle lui de démarche de dépassement des clivages confessionnels. MgrGérard Daucourt, membre du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, indique pour sa part que frère Roger n'a pas triché «en cachant une conversion au catholicisme au sens où on l’entend habituellement». Il «partageait la foi catholique dans le ministère et dans l’Eucharistie», «il vénérait la Vierge Marie» et espérait «une proche restauration de l’unité visible entre tous les chrétiens», mais en voulant «vivre cela sans rupture avec quiconque».
    
       
Le 16 août 2005, alors qu'il participait comme tous les soirs de l'année à la prière commune avec plusieurs milliers de jeunes pèlerins présents à Taizé durant les Journées mondiales de la jeunesse 2005 qui se déroulaient à Cologne, le frère Roger, qui a alors quatre-vingt-dix ans, est poignardé mortellement par Luminita Solcan, une déséquilibrée âgée de trente-six ans qui avait réussi à s'introduire au milieu du chœur des Frères.
Ses funérailles se déroulent le 23 août 2005 en l'église de la Réconciliation de Taizé en compagnie des membres de la communauté de Taizé et de personnalités politiques et religieuses parmi lesquelles Horst Köhler, président de l'Allemagne, Nicolas Sarkozy, ministre français de l'Intérieur et ministre chargé des cultes, le pasteur Jean-Arnold de Clermont, président du Conseil de la Fédération protestante de France, l'évêque luthérien Wolfgang Huber, président de l'Église évangélique en Allemagne, l'archiprêtre Mikhail Gundyaev, représentant du Patriarcat orthodoxe de Moscou, en présence de plus de douze mille personnes.
Au cours de la messe concélébrée par le cardinal Walter Kasper, président du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, et quatre prêtres de Taizé, celui-ci a lu un message du pape Benoît XVI accordant sa bénédiction apostolique.
Le frère Roger est inhumé dans le cimetière du village. Sa succession à la tête de la communauté est assurée par frère Aloïs, catholique d'origine allemande, désigné par frère Roger en personne quelques années auparavant.
        
     

Bebel Gilberto faz hoje 57 anos


  
Isabel "Bebel" Gilberto de Oliveira (Nova Iorque, 12 de maio de 1966) é uma cantora brasileira nascida nos Estados Unidos. Muitas vezes associada à bossa nova, Bebel Gilberto é filha de João Gilberto e da cantora Miúcha, e sobrinha de Chico Buarque.
    

 


Jason Biggs fez hoje 45 anos

  
Jason Matthew Biggs (Pompton Plains, 12 de maio de 1978) é um ator americano que obteve fama em 1999 quando interpretou Jim Levenstein no filme American Pie.
   
Carreira
Biggs começou a atuar com cinco anos. Em 1991, estreou na televisão com uma passagem curta pelo série Drexell's Class da Fox Network. Ele também fez um especial da HBO, The Fotis Sevastakis Story, entretanto devido a diversos fatores, nunca chegou ir para o ar. No mesmo ano, Biggs estreou na Broadway com Conversations with My Father, o que o ajudou lhe abrir o caminho para que  participasse na telenovela diurna, As the World Turns. Foi nomeado para o Emmy de "melhor ator jovem" pelo seu papel na novela.
Biggs estudou na New York University briefly entre 1996–1997, mas logo voltou a atuar e logo  reapareceria em outra série de televisão, em 1997 Camp Stories. Ele passou a fazer American Pie, que se tornou um fenómeno internacional. Depois disso, Biggs estrelou em filmes como Loser em 2000. Entre 2004 e 2005, atuou como um judeu ortodoxo numa comédia de Daniel Glodfarb, Modern Orthodox. Em, 2006, Biggs apareceu no reality show da MTV denominado Blowin' Up com Jamie Kennedy e Stu Stone, sendo encarado como o antagonista pelo público do programa, criando uma certa rivalidade com Kennedy e Stone.
Em 2013, Biggs estava no elenco principal da série de comédia Orange Is the New Black, interpretando Larry Bloom.

Vida pessoal
Biggs tem brincado em entrevistas sobre o facto de que ele frequentemente interpretar, de forma explícita ou implícita, personagens judeus, como em American Pie, e ainda disse que é casado, Darren Silverman (de Saving Silverman); contudo, ele é católico.
  

Dante Gabriel Rossetti, da Irmandade Pré-Rafaelita, nasceu há 195 anos

Autoretrato, 1847

Dante Gabriel Rossetti (Londres, 12 de maio de 1828 - Birchington-on-Sea, 10 de abril de 1882), originalmente Gabriel Charles Dante Rossetti, foi um poeta, ilustrador e pintor inglês de origem italiana. Devido à sua preferência pela poesia medieval e em especial pela obra de Dante, Rossetti muda a ordem dos seus nomes e passa a usar Dante em primeiro lugar.
Fundou, juntamente com John Everett Millais e William Holman Hunt, em 1848, a Irmandade Pré-Rafaelita, um grupo artístico entre o espírito revivalista do romantismo e as novas vanguardas do século XX.
Rossetti também escrevia poemas para os seus quadros, como "Astarte Syraica". Como designer, trabalhou com William Morris para produzir imagens para vitrais e decorações.
Como ilustrador, Rossetti produziu poucas trabalhos, mas que tiveram influência duradoura sobre ilustradores do século XIX e XX. Fez ilustrações para Moxon Tennyson, Allingham e para os livros de poesia da sua irmã, Christina Rossetti.
  
Ecce Ancilla Domini! (A Anunciação) 1850
 
Beata Beatrix, 1863
 

Lady Lilith (1868), Delaware Art Museum

 
  

Um terramoto abalou a China há 15 anos

  

O sismo de Sichuan de 2008 foi um violento sismo que abalou a zona de Wenchuan, na província de Sichuan, na República Popular da China às 14.28.04, hora local, (06.28.04 GMT) em 12 de maio de 2008. O terramoto teve magnitude 8,0 na Escala de Richter, de acordo com o Centro de Pesquisas Sismológicas da China e o United States Geological Survey. O sismo foi sentido em localidades tão longínquas quanto Beijing e Xangai, onde edifícios de escritórios balançaram com o impacto, Paquistão, Tailândia, e na capital do Vietname, Hanói. A maior cidade próxima ao epicentro do terremoto é Chengdu, capital da província de Sichuan.
Estima-se que mais de 85.000 pessoas terão falecido e mais de 358.000 tenham ficado feridas devido a este sismo, enquanto as buscas continuavam. Na área de Mianzhu, perto do epicentro do sismo, e da cidade de Mianyang, houve um grande número de vítimas, assim como perto do condado de Beichuan Qiang, onde 80% das construções foram destruídas.
Uma réplica de forte intensidade ocorreu em 18 de maio às 01.08 horas locais.
O governo decretou três dias de luto nacional pelas vítimas mortais do sismo.
 
  
  
Informação oficial 
Os números oficiais de vítimas eram, a 21 de maio, de 41.353 mortes confirmadas, incluindo 40.854 só na província de Sichuan, e 274.683 feridos. O governo da República Popular da China alertou para a possibilidade de o número total de vítimas mortais poder chegar às 50.000. Havia ainda milhares de desaparecidos e aproximadamente 14.000 pessoas soterradas, em oito províncias. Foi o mais forte e mortífero sismo na China desde o sismo de Tangshan de 1976, que matou mais de 250.000 pessoas.
  
Riscos ambientais
A descoberta de milhares de toneladas de produtos químicos perigosos e as fortes chuvas agravam a ameaça representada por um lago que se formou na cidade de Tangjiashan após o terremoto, e pelas fugas de material radioativo, provocadas pelo tremor de terra de 12 de maio. A província de Sichuan é a principal base de guarda do arsenal nuclear chinês.
Cerca de 5.000 toneladas de produtos químicos, dentre os quais ácido sulfúrico e ácido clorídrico, estavam guardados em diferentes locais, a jusante do lago, e tiveram que ser transferidas para lugares seguros. As autoridades também retiraram mais de 150.000 habitantes dessas áreas, pois, segundo Alexander Densmore, sismólogo da Universidade de Durham na Grã-Bretanha, havia grande possibilidade de rutura súbita do reservatório, com inundação de extensas áreas na região. "Esses lagos, formados pelo deslizamento de terras, representam uma ameaça importante em regiões montanhosas e em vales estreitos, onde um pequeno volume de material pode provocar uma obstrução total."
Em Sichuan há um grande número de barragens hidráulicas, o que poderia significar a ocorrência de catástrofes em cadeia, se uma retenção natural transbordasse ou se uma barragem, fragilizada pelo sismo, se rompesse.
   

Porque os anjos também morrem - o do Gueto de Varsóvia deixou-nos há quinze anos...

     
Irena Sendler, em polaco: Irena Sendlerowa, nascida Krzyżanowska (Varsóvia, 15 de fevereiro de 1910 - Varsóvia, 12 de maio de 2008), também conhecida como "O Anjo do Gueto de Varsóvia," foi uma ativista católica dos direitos humanos durante a Segunda Guerra Mundial, tendo contribuído para salvar mais de 2.500 vidas ao conseguir que várias famílias cristãs escondessem filhos de judeus no seio do seu lar e ao levar alimentos, roupas e medicamentos às pessoas barricadas no gueto, com risco da própria vida. 
   
A mãe das crianças do Holocausto
Cquote1.svg A razão pela qual resgatei as crianças tem origem no meu lar, na minha infância. Fui educada na crença de que uma pessoa necessitada deve ser ajudada com o coração, sem importar a sua religião ou nacionalidade. Cquote2.svg
- Irena Sendler
  
Quando a Alemanha nazi invadiu o país, em 1939, Irena era assistente social no Departamento de Bem Estar Social de Varsóvia, trabalhava com enfermeiras e organizava espaços de refeição comunitários da cidade com o objetivo de responder às necessidades das pessoas que mais necessitavam. Graças a ela, esses locais não só proporcionavam comida para órfãos, anciãos e pobres, como lhes entregavam roupas, medicamentos e dinheiro. Ali trabalhou incansavelmente para aliviar o sofrimento de milhares de pessoas, tanto judias como católicas.
Em 1942, os nazis criaram um gueto em Varsóvia, e Irena, horrorizada pelas condições em que ali se sobrevivia, uniu-se ao Conselho para a Ajuda aos Judeus, Zegota. Ela mesma contou:
  
   
Quando Irena caminhava pelas ruas do gueto, levava uma braçadeira com a estrela de David, como sinal de solidariedade e para não chamar a atenção sobre si própria. Pôs-se rapidamente em contacto com famílias, a quem propôs levar os seus filhos para fora do gueto, mas não lhes podia dar garantias de êxito. Eram momentos extremamente difíceis, quando devia convencer os pais a que lhe entregassem os seus filhos e eles lhe perguntavam:
"Podes prometer-me que o meu filho viverá?". Disse Irena, "O que poderia prometer, quando nem sequer sabia se conseguiriam sair do gueto." A única certeza era a de que as crianças morreriam se permanecessem lá. Muitas mães e avós eram reticentes na entrega das crianças, algo absolutamente compreensível, mas que viria a se tornar fatal para elas. Algumas vezes, quando Irena ou as suas companheiras voltavam a visitar as famílias para tentar fazê-las mudar de opinião, verificavam que todos tinham sido levados para os campos da morte.
Ao longo de um ano e meio, até à evacuação do gueto no Verão de 1942, conseguiu resgatar mais de 2.500 crianças por várias vias: começou a recolhê-las em ambulâncias como vítimas de tifo, mas logo se valia de todo o tipo de subterfúgios que servissem para os esconder: sacos, cestos de lixo, caixas de ferramentas, carregamentos de mercadorias, sacos de batatas, caixões... nas suas mãos qualquer elemento transformava-se numa via de fuga.
Irena vivia os tempos da guerra pensando nos tempos de paz e por isso não fica satisfeita só por manter com vida as crianças. Queria que um dia pudessem recuperar os seus verdadeiros nomes, as suas identidades, as suas histórias pessoais e as suas famílias. Concebeu então um arquivo no qual registava os nomes e dados das crianças e as suas novas identidades.
Os nazis souberam dessas atividades e, em 20 de outubro de 1943, Irena Sendler foi presa pela Gestapo e levada para a prisão de Pawiak, onde foi brutalmente torturada. Num colchão de palha encontrou uma pequena estampa de Jesus Misericordioso com a inscrição: "Jesus, em Vós confio", e conservou-a consigo até 1979, quando a ofereceu ao Papa João Paulo II.
Ela, a única que sabia os nomes e moradas das famílias que albergavam crianças judias, suportou a tortura e negou-se a trair seus colaboradores ou as crianças ocultas. Quebraram-lhe os ossos dos pés e das pernas, mas não conseguiram quebrar a sua determinação. Foi condenada à morte. Enquanto esperava pela execução, um soldado alemão levou-a para um "interrogatório adicional".
Ao sair, gritou-lhe em polaco "Corra!". No dia seguinte Irena encontrou o seu nome na lista de polacos executados. Os membros da Żegota tinham conseguido deter a execução de Irena subornando os alemães, e Irena continuou a trabalhar com uma identidade falsa.
Em 1944, durante o revolta de Varsóvia, colocou as suas listas em dois frascos de vidro e enterrou-os no jardim de uma vizinha para se assegurar de que chegariam às mãos indicadas se ela morresse. Ao acabar a guerra, Irena desenterrou-os e entregou as notas ao doutor Adolfo Berman, o primeiro presidente do comité de salvação dos judeus sobreviventes. Lamentavelmente, a maior parte das famílias das crianças tinha sido morta nos campos de extermínio nazis.
De início, as crianças que não tinham família adotiva foram cuidadas em diferentes orfanatos e, pouco a pouco, foram enviadas para a Palestina.
As crianças só conheciam Irena pelo seu nome de código "Jolanta". Mas anos depois, quando a sua fotografia saiu num jornal depois de ser premiada pelas suas ações humanitárias durante a guerra, um homem chamou-a por telefone e disse-lhe:
  
  
E assim começou a receber muitas chamadas e reconhecimentos públicos.
Em 1965, a organização Yad Vashem de Jerusalém outorgou-lhe o título de Justa entre as Nações e nomeou-a cidadã honorária de Israel.
Em novembro de 2003 o presidente da República Aleksander Kwaśniewski, concedeu-lhe a mais alta distinção civil da Polónia: a Ordem da Águia Branca. Irena foi acompanhada pelos seus familiares e por Elżbieta Ficowska, uma das crianças que salvou, que recordava como "a menina da colher de prata".
     

Antonio Vega, dos Nacha Pop, morreu há 14 anos...

    
Antonio Vega Tallés (Madrid, 16 de diciembre de 1957 - Majadahonda, Madrid, 12 de mayo de 2009)​ fue un compositor y cantante español. En 1978 formó junto a su primo Nacho García Vega el grupo Nacha Pop, originado en otra banda, Uhu Helicopter, de la que provenían ambos. Su disco de presentación se editó en 1980, separándose el grupo en 1988 tras una exitosa carrera con seis álbumes de estudio y uno en directo. Vega comenzó entonces su carrera como solista, en la que editaría cinco discos de estudio, un álbum en directo y un recopilatorio de colaboraciones con otros artistas.
Antonio Vega ha sido considerado uno de los compositores fundamentales del pop español desde la llegada de la democracia.​ El intimismo de sus canciones y su sensibilidad le ganaron la admiración de crítica y público.
     
(...) 
     
Antonio Vega tenía desde los ochenta graves problemas debido a su drogodependencia, un hecho que con el tiempo había dejado de ser un secreto para el público, debido a su deterioro físico, para convertirse en un componente más de su aura de cantante maldito.
El 20 de abril de 2009 fue ingresado en el Hospital Puerta de Hierro de Madrid debido a una neumonía aguda que le obligó a suspender su gira.​ Falleció el 12 de mayo siguiente, a los 51 años de edad, a consecuencia de un cáncer de pulmón que le habían diagnosticado meses antes.
    

 


Burt Bacharach nasceu há 95 anos...

     
Burt Freeman Bacharach (Kansas City, Missouri, May 12, 1928 – Los Angeles, California, February 8, 2023) was an American composer, songwriter, record producer, and pianist who is widely regarded as one of the most important and influential figures of 20th-century popular music.[4][5][6] Starting in the 1950s, he composed hundreds of pop songs, many in collaboration with lyricist Hal David. Bacharach's music is characterized by unusual chord progressions and time signature changes, influenced by his background in jazz, and uncommon selections of instruments for small orchestras. He arranged, conducted, and produced much of his recorded output.

Over 1,000 different artists have recorded Bacharach's songs. From 1961 to 1972, most of Bacharach and David's hits were written specifically for and performed by Dionne Warwick, but earlier associations (from 1957 to 1963) saw the composing duo work with Marty Robbins, Perry Como, Gene McDaniels, and Jerry Butler. Following the initial success of these collaborations, Bacharach wrote hits for singers such as Gene Pitney, Cilla Black, Dusty Springfield, Tom Jones, and B. J. Thomas.

Bacharach wrote seventy-three U.S. and fifty-two UK Top 40 hits. Those that topped the Billboard Hot 100 include "This Guy's in Love with You" (Herb Alpert, 1968), "Raindrops Keep Fallin' on My Head" (Thomas, 1969), "(They Long to Be) Close to You" (the Carpenters, 1970), "Arthur's Theme (Best That You Can Do)" (Christopher Cross, 1981), "That's What Friends Are For" (Warwick, 1986), and "On My Own" (Carole Bayer Sager, 1986). His accolades include six Grammy Awards, three Academy Awards, and one Emmy Award.

Bacharach is described by writer William Farina as "a composer whose venerable name can be linked with just about every other prominent musical artist of his era"; in later years, his songs were newly appropriated for the soundtracks of major feature films, by which time "tributes, compilations, and revivals were to be found everywhere". A significant figure in easy listening, he influenced later musical movements such as chamber pop and Shibuya-kei. In 2015, Rolling Stone ranked Bacharach and David at number 32 for their list of the 100 Greatest Songwriters of All Time. In 2012, the duo received the Library of Congress Gershwin Prize for Popular Song, the first time the honor has been given to a songwriting team.
    

 

 


quinta-feira, maio 11, 2023

Jean-Baptiste Carpeaux nasceu há 196 anos

Jean-Baptiste Carpeaux, Autoportrait, dit aussi Dernier autoportrait (1874), huile sur toile - Paris, Musée d'Orsay

Jean-Baptiste Carpeaux, né le , à Valenciennes et mort le , à Courbevoie, est un sculpteur, peintre et dessinateur français


La Jeune Fille à la coquille, à Valenciennes 

Hoje é dia de ouvir Bossa Nova...

Eric Burdon nasceu há 82 anos


Eric Victor Burdon
(Walker, Newcastle upon Tyne, 11 May 1941) is an English singer-songwriter. He was previously the lead vocalist of R&B and rock band The Animals and funk band War. He is regarded as one of the British Invasion's most distinctive singers with his deep, powerful blues-rock voice. He is also known for his aggressive stage performances.

In 2008, he was ranked 57th in Rolling Stone's list of "The 100 Greatest Singers of All Time".
 
 

Uma nódoa lamentável da história portuguesa (chamada Afonso Costa) morreu há 86 anos

Afonso Costa salta de um elétrico em movimento (3 de julho de 1915)

 

Afonso Augusto da Costa (Seia, 6 de março de 1871 - Paris, 11 de maio de 1937) foi um advogado, professor universitário, político republicano e estadista português.
Foi um dos principais obreiros da implantação da República em Portugal e uma das figuras dominantes da Primeira República.
   
 
  
NOTA: republicamos, novamente, um antigo mas excelente texto, para quem quiser conhecer melhor este senhor:


Qual é coisa, qual é ela, que entra pela porta e sai pela janela?
Afonso Costa não é, como escreveu A. H. de Oliveira Marques, o mais querido e o mais odiado dos Portugueses. É, com certeza, uma das figuras mais ridículas e abjetas da História de Portugal, epítome do que constituiu a I República, ou seja, um regime de vale-tudo, de ameaças, de extorsões, de perseguições e ódios. Afonso Costa jamais foi querido. Foi sempre temido, odiado, repudiado e no fim respeitado, pois ser amado significava perder a força necessária à consolidação da sua obra. A República Portuguesa, sobretudo nos seus defeitos (sim, porque não podemos esconder-lhe algumas virtudes) foi da sua lavra. Desde a tentativa de erradicação da Igreja Católica, às sovas que deu ou mandou dar aos seus opositores, passando pelos pequenos furtos ou os grandes roubos em que esteve envolvido, sem qualquer pejo, embaraço ou vergonha. Como escreveu Fernando Pessoa: «Não podendo Afonso Costa fazer mais nada, é homem para mandar assassinar. Tudo depende do seu grau de indignação.». Ora, a indignação de Afonso Costa teve vários graus, tantos ou mais do que aqueles que subiu na hierarquia da Maçonaria que o acolhia com fraternidade. Aliás, a raiva deste paladino da República nunca foi elitista, faça-se-lhe justiça: tanto se dirigia a monárquicos como a republicanos, dependendo de quem se atrevia a fazer-lhe frente.
Político experimentado dos últimos anos do rotativismo e da experiência do franquismo, Afonso Costa sabia uma coisa: para governar um país como Portugal, a Democracia só podia vir depois. Mais, o primeiro passo para mandar nos portugueses, não é suspender o Parlamento, ou calar a Imprensa, é alimentar o mais possível o caciquismo e os clientelismos. Por isso, com uma mestria nem sequer igualada pelo seu sucessor das Finanças a partir de 1926, rodeou-se da família, criando uma Dinastia de Costas (a expressão aparece na sua correspondência), leal, forte, incorruptível (na qual a sua mulher teve um papel fundamental, mesmo apesar de às mulheres a República ter negado o direito ao voto), distribuiu benesses aos mais próximos, amigos ou inimigos, mantendo-os no bolso como qualquer bom gangster o faria.
Contudo, Costa tinha um lado medroso que faz dele esse político tão extraordinário e vivo da nossa História. Rodeava-se da púrria (adolescentes vadios e marginais a quem oferecia bombas e armas para assustar a população) e ele próprio manejava a pólvora como ninguém; por outro lado era incapaz de enfrentar um opositor num frente a frente. E tinha medo, muito medo, do próprio terror que lançara. Quando, em 1917, Sidónio o mandou ir prender ao Porto, andou escondido em guarda-fatos e dali saiu apupado por uma fila de mulheres. Passou vexames inacreditáveis: viu a sua casa ser esbulhada de alguns dos objetos que ele tinha furtado nos Palácios Reais e um dia de julho de 1915, seguindo num elétrico atirou-se pela janela fora ao som e à vista de um clarão que pensava vir de uma bomba. Não fora um atentado, apenas um curto-circuito…estatelou-se no chão de onde foi levantado pelos transeuntes em estado grave e, durante meses e anos a fio, Lisboa transformou esta cena patética numa adivinha popular: Qual é coisa, qual é ela, que entra pela porta e sai pela janela?
Afonso Costa participou em negociatas e estranhos casos de favorecimento. Desapareceram processos durante o seu ministério na Justiça e não poucas vezes viu o Parlamento envolvê-lo na “roubalheira” de que fala Raul Brandão e na qual políticos e militares participavam. Em França um banqueiro virou-se para António Cabral, ex-ministro da Monarquia perguntando-lhe: - “Conhece um tal de Afonso Costa, em Portugal”. António Cabral disse que sim, que o conhecia bem… ao que o capitalista respondeu – “Pois deve ser um dos homens mais ricos do seu país, dada a quantia que possui na conta que por cá abriu…”
Nada o detia. Para além de manipular a legislação a seu favor (algo que facilmente podia fazer, dado que controlava, a partir da proeminência do seu Partido Democrático, veja-se o Caso das Binubas, de que hoje ninguém fala…) executava malabarismos financeiros, como o que envolveu a sua mulher, para quem fez desviar, sob a desculpa da caridade, meio milhão de francos, destinados à Comissão de Hospitalização da Cruzada das Mulheres Portuguesas, de que a D. Alzira Costa era presidente.
Claro está que no meio de governos maioritários, ditatoriais e não fiscalizados, no meio do clima de terror que Afonso Costa ajudara a criar e mantinha para sua segurança e a da própria República, os roubos não só eram frequentes, como absolutamente seguros (prova-o a “habilidade” de Alves dos Reis, em 1925). Nenhuma investigação, sendo efetivamente aberta, levaria a alguma condenação. Não deixa de ser curioso que às despesas e aos roubos que os republicanos faziam questão de apontar antes de 1910 tornaram-se frequentíssimos durante os loucos anos da I República: armamento, fardas militares, promiscuidades várias com empresas estrangeiras, etc, etc.
Através da figura de Afonso Costa é fácil entender as atuais comemorações do Centenário e como, a meio deste ano de 2010, os seus mandatários resolveram assumir a celebração dos primeiros anos da República, evitando assim o Estado Novo e, na 3.ª República, fugir à inevitável glorificação de uma certa “oposição” não socialista. É que a Primeira República, intolerante e exclusiva como hoje alguns dos seus admiradores é a melhor e talvez a única maneira de regressar às raízes e à autenticidade da República Portuguesa tal qual ela foi gizada.
Nuno Resende - daqui

Renaud - 71 anos

   
Renaud Séchan (Paris, 11 de maio de 1952) é um cantautor e ator francês.
Com 26 álbuns e quase 20 milhões de cópias vendidas, Renaud é um dos cantores francófonos mais populares, que usa a música para criticar a sociedade.
  

 


Saudades de Bob Marley...