quinta-feira, março 18, 2021
Rudolf Diesel nasceu há 163 anos
Postado por Fernando Martins às 16:30 0 bocas
Marcadores: automobilismo, diesel, França, Mecânica, Petróleo, Rudolf Diesel
terça-feira, março 16, 2021
A maré negra do Amoco Cadiz foi há 43 anos
- 9 h 45 : le pétrolier tombe en avarie de gouvernail à 7,5 milles d'Ouessant : celui-ci est bloqué et fait virer le pétrolier sur bâbord. Un premier message radio de sécurité TTT est envoyé sur 500 kHz, stipulant la non-manœuvrabilité du bateau et demandant aux autres bâtiments de se tenir à l'écart.
- 11 h 05 : l'Amoco Cadiz prend contact avec la station Le Conquet radio. L'armateur du bateau étant à Chicago, le capitaine tente de lui téléphoner. À cause du décalage horaire il n'y parviendra pas. Il tente alors vainement de joindre des représentants basés à Gênes et Milan.
- 11 h 20 : le capitaine Pasquale Bardari demande l'assistance d'un remorqueur car l'avarie ne peut être réparée. Un appel d'urgence XXX est envoyé sur 500 kHz. Le pétrolier est alors à 10 milles au nord d'Ouessant. Le remorqueur le plus proche, le Pacific, est à 13 milles de là, à proximité de Portsall. Il fait alors route vers le nord dans le cadre d'une autre mission. Sa puissance est de 10 000 chevaux.
- 11 h 28 : prise de contact directe entre l’Amoco Cadiz et le Pacific. Ce dernier fait demi-tour et contacte son armateur, la société Bugsier. L’Amoco Cadiz tente de joindre son assureur à Chicago car le Pacific propose un contrat fondé sur le Lloyd's open form. Bugsier contacte un autre remorqueur, le Simson, plus puissant (16 000 chevaux), situé alors au large de Cherbourg.
- 12 h : le Pacific est à 6 milles du pétrolier. Aucune certitude quant à l'accord sur l'assurance. Le Pacific se rapproche encore car le pétrolier a déjà dérivé de 2 milles sous l'effet du vent et est à la limite sud du rail d'Ouessant.
- 13 h 15 : première tentative de passage de la remorque. Le Pacific envoie une touline pour hisser la remorque, sur le pétrolier. Cette remorque est constituée d'un gros câble d'acier et d'une chaîne. L'ensemble pèse 15 tonnes.
- 13 h 31 : la remorque est tournée sur l’Amoco Cadiz.
- 14 h 05 : le remorqueur commence à tirer lentement.
- 14 h 49 : le Pacific a laissé filer 1 000 m de remorque et porte ses moteurs à 80 % de ses capacités (250 tr/min). Malgré cela, les deux bateaux dérivent vers l'est.
- 15 h 15 : l’Amoco Cadiz refuse une nouvelle fois la proposition de contrat sur la base du Lloyd's open form.
- 16 h : le contrat est finalement accepté, Chicago ayant pu être contacté. Le Simson prévoit d'arriver vers 23 h.
- 16 h 15 : la chaîne de remorque casse. À ce moment le pétrolier a évité et se trouve orienté vers le sud. Le capitaine du pétrolier décide de mettre les machines en arrière pour s'éloigner de la côte, malgré son avarie de gouvernail. Le vent est d'ouest force 8, avec des rafales à 9-10 et la mer est formée avec des creux de 8 mètres.
- 17 h 05 : les 980 m de remorque sont ramenés à bord du Pacific. À cause de la houle, deux matelots sont blessés, mais le remorqueur se prépare à repasser la remorque.
- 18 h 20 : nouvelles tentatives de remorquage, par l'arrière du pétrolier. Les deux bateaux se sont éloignés l'un de l'autre.
- 18 h 40 : le Pacific se dirige vers le pétrolier.
- 18 h 53 : les officiers des deux bateaux ne sont pas d'accord sur la manœuvre : le capitaine de l’Amoco Cadiz préférerait être remorqué par la proue.
- 19 h 10 : la touline est lancée, mais n'a pas pu être récupérée.
- 19 h 26 : après deux autres échecs, la quatrième tentative sera fructueuse. L'équipage ramène la touline mais celle-ci casse et la remorque retombe à l'eau.
- 19 h 40 : le courant est plus fort à présent et les deux bateaux continuent à dériver.
- 19 h 55 : l’Amoco Cadiz se prépare à jeter l'ancre pour limiter la dérive.
- 20 h 04 : l'ancre est mouillée.
- 20 h 07 : le Pacific a renvoyé l'amarre qui est tournée sur le treuil du pétrolier.
- 20 h 15 : le Simson est à 40 milles. La prise de la remorque se poursuit. À ce moment le risque d'échouement est très important et il devient urgent de remorquer le pétrolier.
- 20 h 28 : le guindeau, système de relevage de l'ancre, se casse et est arraché.
- 20 h 37 : le câble de remorquage est finalement tourné sur un jeu de bittes d'amarrage.
- 20 h 55 : le remorqueur laisse filer 400 m et commence à tirer. Le pétrolier est toujours mouillé et espère pouvoir tourner.
- 21 h 04 : le pétrolier talonne (touche le fond) pour la première fois. Il roule sous les vagues et ses machines sont noyées.
- 21 h 10 : l’Amoco Cadiz est privé d'éclairage et de radio.
- 21 h 39 : le pétrolier talonne une seconde fois.
- 21 h 43 : le pétrolier lance des fusées de détresse, la marée noire commence.
- 21 h 50 : un appel de détresse SOS est envoyé sur 500 kHz. Le Pacific demande un hélicoptère pour évacuer l'équipage de l’Amoco Cadiz. Il met les machines au maximum pour tenter de déséchouer le pétrolier.
- 22 h 12 : la remorque casse et est récupérée sur le Pacific.
- 22 h 30 : le Simson arrive sur les lieux.
- 24 h : l'équipage de l’Amoco Cadiz est hélitreuillé par les équipages des hélicoptères Super Frelon de la 32e flottille de la Marine nationale basée à Lanvéoc-Poulmic. Seuls le capitaine et un officier restent à bord.
- 1 h 45 : 42 personnes sur 44 ont été évacuées. Les deux derniers vont devoir attendre jusqu'à 5 h avant de pouvoir quitter le navire.
Postado por Fernando Martins às 00:43 0 bocas
Marcadores: Amoco, Amoco Cadiz, França, maré negra, petroleiros, Petróleo
segunda-feira, fevereiro 01, 2021
Cabinda ficou sob proteção de Portugal há 136 anos
- Portugal obriga-se a fazer manter a integridade dos territórios colocados sob o seu protectorado.
- Portugal respeitará e fará respeitar os usos e costumes do país.
in Wikipédia
segunda-feira, julho 20, 2020
Calouste Gulbenkian morreu há 65 anos
Postado por Fernando Martins às 06:50 0 bocas
Marcadores: Arménia, Calouste Gulbenkian, Fundação Calouste Gulbenkian, Império Otomano, Petróleo, Turquia
segunda-feira, abril 20, 2020
A explosão da plataforma Deepwater Horizon foi há dez anos
in Wikipédia
Postado por Fernando Martins às 10:00 0 bocas
Marcadores: explosão da plataforma Deepwater Horizon, Petróleo
terça-feira, março 24, 2020
O Exxon Valdez provocou um enorme desastre ambiental há 31 anos
Postado por Fernando Martins às 00:31 0 bocas
Marcadores: Alasca, desastre ambiental, Exxon Valdez, maré negra, Petróleo
segunda-feira, março 23, 2020
Calouste Gulbenkian nasceu há 151 anos
Postado por Fernando Martins às 15:10 0 bocas
Marcadores: Arménia, Calouste Gulbenkian, Fundação Calouste Gulbenkian, Império Otomano, Petróleo, Turquia
segunda-feira, março 16, 2020
Uma das piores catástrofes ecológicas de sempre foi há 42 anos
- 9 h 45 : le pétrolier tombe en avarie de gouvernail à 7,5 milles d'Ouessant : celui-ci est bloqué et fait virer le pétrolier sur bâbord. Un premier message radio de sécurité TTT est envoyé sur 500 kHz, stipulant la non-manœuvrabilité du bateau et demandant aux autres bâtiments de se tenir à l'écart.
- 11 h 05 : l'Amoco Cadiz prend contact avec la station Le Conquet radio. L'armateur du bateau étant à Chicago, le capitaine tente de lui téléphoner. À cause du décalage horaire il n'y parviendra pas. Il tente alors vainement de joindre des représentants basés à Gênes et Milan.
- 11 h 20 : le capitaine Pasquale Bardari demande l'assistance d'un remorqueur car l'avarie ne peut être réparée. Un appel d'urgence XXX est envoyé sur 500 kHz. Le pétrolier est alors à 10 milles au nord d'Ouessant. Le remorqueur le plus proche, le Pacific, est à 13 milles de là, à proximité de Portsall. Il fait alors route vers le nord dans le cadre d'une autre mission. Sa puissance est de 10 000 chevaux.
- 11 h 28 : prise de contact directe entre l’Amoco Cadiz et le Pacific. Ce dernier fait demi-tour et contacte son armateur, la société Bugsier. L’Amoco Cadiz tente de joindre son assureur à Chicago car le Pacific propose un contrat fondé sur le Lloyd's open form. Bugsier contacte un autre remorqueur, le Simson, plus puissant (16 000 chevaux), situé alors au large de Cherbourg.
- 12 h : le Pacific est à 6 milles du pétrolier. Aucune certitude quant à l'accord sur l'assurance. Le Pacific se rapproche encore car le pétrolier a déjà dérivé de 2 milles sous l'effet du vent et est à la limite sud du rail d'Ouessant.
- 13 h 15 : première tentative de passage de la remorque. Le Pacific envoie une touline pour hisser la remorque, sur le pétrolier. Cette remorque est constituée d'un gros câble d'acier et d'une chaîne. L'ensemble pèse 15 tonnes.
- 13 h 31 : la remorque est tournée sur l’Amoco Cadiz.
- 14 h 05 : le remorqueur commence à tirer lentement.
- 14 h 49 : le Pacific a laissé filer 1 000 m de remorque et porte ses moteurs à 80 % de ses capacités (250 tr/min). Malgré cela, les deux bateaux dérivent vers l'est.
- 15 h 15 : l’Amoco Cadiz refuse une nouvelle fois la proposition de contrat sur la base du Lloyd's open form.
- 16 h : le contrat est finalement accepté, Chicago ayant pu être contacté. Le Simson prévoit d'arriver vers 23 h.
- 16 h 15 : la chaîne de remorque casse. À ce moment le pétrolier a évité et se trouve orienté vers le sud. Le capitaine du pétrolier décide de mettre les machines en arrière pour s'éloigner de la côte, malgré son avarie de gouvernail. Le vent est d'ouest force 8, avec des rafales à 9-10 et la mer est formée avec des creux de 8 mètres.
- 17 h 05 : les 980 m de remorque sont ramenés à bord du Pacific. À cause de la houle, deux matelots sont blessés, mais le remorqueur se prépare à repasser la remorque.
- 18 h 20 : nouvelles tentatives de remorquage, par l'arrière du pétrolier. Les deux bateaux se sont éloignés l'un de l'autre.
- 18 h 40 : le Pacific se dirige vers le pétrolier.
- 18 h 53 : les officiers des deux bateaux ne sont pas d'accord sur la manœuvre : le capitaine de l’Amoco Cadiz préférerait être remorqué par la proue.
- 19 h 10 : la touline est lancée, mais n'a pas pu être récupérée.
- 19 h 26 : après deux autres échecs, la quatrième tentative sera fructueuse. L'équipage ramène la touline mais celle-ci casse et la remorque retombe à l'eau.
- 19 h 40 : le courant est plus fort à présent et les deux bateaux continuent à dériver.
- 19 h 55 : l’Amoco Cadiz se prépare à jeter l'ancre pour limiter la dérive.
- 20 h 04 : l'ancre est mouillée.
- 20 h 07 : le Pacific a renvoyé l'amarre qui est tournée sur le treuil du pétrolier.
- 20 h 15 : le Simson est à 40 milles. La prise de la remorque se poursuit. À ce moment le risque d'échouement est très important et il devient urgent de remorquer le pétrolier.
- 20 h 28 : le guindeau, système de relevage de l'ancre, se casse et est arraché.
- 20 h 37 : le câble de remorquage est finalement tourné sur un jeu de bittes d'amarrage.
- 20 h 55 : le remorqueur laisse filer 400 m et commence à tirer. Le pétrolier est toujours mouillé et espère pouvoir tourner.
- 21 h 04 : le pétrolier talonne (touche le fond) pour la première fois. Il roule sous les vagues et ses machines sont noyées.
- 21 h 10 : l’Amoco Cadiz est privé d'éclairage et de radio.
- 21 h 39 : le pétrolier talonne une seconde fois.
- 21 h 43 : le pétrolier lance des fusées de détresse, la marée noire commence.
- 21 h 50 : un appel de détresse SOS est envoyé sur 500 kHz. Le Pacific demande un hélicoptère pour évacuer l'équipage de l’Amoco Cadiz. Il met les machines au maximum pour tenter de déséchouer le pétrolier.
- 22 h 12 : la remorque casse et est récupérée sur le Pacific.
- 22 h 30 : le Simson arrive sur les lieux.
- 24 h : l'équipage de l’Amoco Cadiz est hélitreuillé par les équipages des hélicoptères Super Frelon de la 32e flottille de la Marine nationale basée à Lanvéoc-Poulmic. Seuls le capitaine et un officier restent à bord.
- 1 h 45 : 42 personnes sur 44 ont été évacuées. Les deux derniers vont devoir attendre jusqu'à 5 h avant de pouvoir quitter le navire.
Postado por Fernando Martins às 23:42 0 bocas
Marcadores: Amoco, Amoco Cadiz, França, maré negra, petroleiros, Petróleo
sábado, fevereiro 01, 2020
Cabinda ficou sob protectorado português há 135 anos
O Tratado de Simulambuco foi assinado, em 1 de fevereiro de 1885, pelo representante do governo português Guilherme Augusto de Brito Capello, então capitão tenente da Armada e comandante da corveta Rainha de Portugal, e pelos príncipes, chefes e oficiais do reino de N'Goyo. O tratado colocou Cabinda sob protectorado português, por contraste com o estatuto colonial de Angola. O tratado foi feito antes da Conferência de Berlim, que dividiu África pelas potências europeias.
- Portugal obriga-se a fazer manter a integridade dos territórios colocados sob o seu protectorado.
- Portugal respeitará e fará respeitar os usos e costumes do país.
in Wikipédia
Nós, abaixo assinados, príncipes e governadores de Cabinda, sabendo que na Europa se trata de resolver, em conferência de embaixadores de diferentes potências, questões que directamente dizem respeito aos territórios da Costa Ocidental de África, e, por conseguinte, do destino dos seus povos, aproveitamos a estada neste porto da corveta portuguesa Rainha de Portugal, a fim de em nossos nomes e no dos povos que governamos pedirmos ao seu comandante, como delegado do Governo de Sua Majestade Fidelíssima, para fazermos e concordarmos num tratado pelo qual fiquemos sob o protectorado de Portugal, tornando-nos, de facto, súbditos da coroa portuguesa, como já o éramos por hábitos e relações de amizade. E, portanto, sendo de nossa inteira, livre e plena vontade que de futuro entremos nos domínios da coroa portuguesa, pedimos ao Exmo. Sr. Comandante da corveta portuguesa para aceder aos nossos desejos e dos povos que governamos, determinando o dia, onde, em sessão solene, se há-de assinar a tratado que nos coloque sob a protecção da bandeira de Portugal.
Escrito em reunião dos príncipes abaixo assinados, no lugar de Simulambuco, aos 22 de janeiro de 1885.
Representante da regência, sinal em + de Ibiala Mamboma, Rei; sinal em + da princesa Maria Simbo Mambuco, (a) Manuel José Puna (mais tarde Barão de Cabinda); sinal em + do príncipe Iambo Franque, governador de Chinga; sinal em + do príncipe Jack, governador de Buco-Sinto; sinal em + de Fernando Mengas, filho do príncipe Jack; sinal em + de King Jack, príncipe; sinal em + do príncipe King Faine, sinal em + de Fernando Sonça, governador do Povo Grande; sinal em + do Mongovo Velho, dono do Povo Grande; sinal em + do Mongovo Mamgombe, governador de Siamona; sinal em + de Betti Jack, governador de Cai; (a) Manuel Bonzela Franque, governador de Porto Rico e Mambu; Francisco Rodrigues Franque, governador de Pernambuco e Vitória; sinal em + do Massabo; sinal em + de Machimbe Mafuca Franque; sinal em + do príncipe Muan Sambi Linguister de Francisco Franque.
Art. 1º - Os príncipes e mais chefes e seus sucessores declaram, voluntariamente, reconhecer a soberania de Portugal, colocando sob o protectorado desta nação todos os territórios por eles governados.
Art. 2º - Portugal reconhece e confirmará todos os chefes que forem reconhecidos pelos povos segundo as suas leis e usos, prometendo-lhes auxílio e protecção.
Art. 3º - Portugal obriga-se a fazer manter a integridade dos territórios colocados sob o seu protectorado.
Art. 4º - Aos chefes do país e seus habitantes será conservado o senhorio directo das terras que lhes pertencem, podendo-as vender ou alugar de qualquer forma para estabelecimento de feitorias de negócio ou outras indústrias particulares, mediante pagamento dos costumes, marcando-se de uma maneira clara e precisa a área dos terrenos concedidos, para evitar complicações futuras, devendo ser ratificados os contratos pelos comandantes dos navios de guerra portugueses, ou pelas autoridades em que o governo de sua majestade delegar os seus poderes.
Art. 5º - A maior liberdade será concedida aos negociantes de todas as nações para se estabelecerem nestes territórios, ficando o governo português obrigado a proteger esses estabelecimentos, reservando-se a direito de proceder como julgar mais conveniente, quando se provar que se tenta destruir o domínio de Portugal nestas regiões.
Art. 6º - Os príncipes e mais chefes indígenas obrigam-se a não fazer tratados nem ceder terrenos aos representantes de nações estrangeiras, quando esta cedência seja com carácter oficial e não com o fim mencionado no artigo 4º.
Art. 7º - Igualmente se obrigam a proteger o comércio quer dos portugueses, quer dos estrangeiros e indígenas, não permitindo interrupção nas comunicações com o interior, e a fazer uso das suas autoridades para desembaraçar os caminhos, facilitando e protegendo as relações entre vendedores e compradores, o as missões religiosas e científicas que se estabeleçam temporária ou permanentemente nos seus territórios; assim como o desenvolvimento da agricultura.
§ único. - Obrigam-se mais a não permitir o tráfico de escravatura nos limites dos seus domínios.
Art. 8º - Toda e qualquer questão entre europeus e indígenas será resolvida sempre com a assistência do comandante do navio de guerra português que nessa ocasião estiver em possível comunicação com a terra, ou de quem estiver munido de poderes devidamente legalizados.
Art. 9º - Portugal respeitará e fará respeitar os usos e costumes do país.
Art. 10º - Os príncipes e governadores cedem a Portugal a propriedade inteira e completa de porções de terreno, mediante o pagamento dos seus respectivos valores, a fim de neles o governo português mandar edificar os seus estabelecimentos militares, administrativos ou particulares.
Art. 11º - O presente tratado assinado pelos príncipes e chefes do país, bem como pelo capitão-tenente comandante da corveta «Rainha de Portugal», começa a ter execução desde o dia da sua assinatura, não podendo, contudo, considerar-se definitivo senão depois de ter sido aprovado pelo Governo de Sua Majestade.
Simulambuco, em Cabinda, 1 de fevereiro de 1885, (a) Guilherme Augusto de Brites Capello (seguem-se as assinaturas de todos os príncipes e nobres de Cabinda).
Este tratado foi explicado e lido em língua do país, ficando todos inteirados do seu conteúdo antes de assinarem e fazerem o sinal de + (cruz), na minha presença e comigo, António Nunes de Serra e Moura, aspirante do corpo de oficiais da Fazenda da Armada, servindo de escriturário (a) Nunes de Serra e Moura.
Afirmamos e juramos, sendo preciso, que as assinaturas e sinais são dos indivíduos, por os conhecermos pessoalmente e os termos visto assinar este auto (a) João Puna, João Barros Franque, Vicente Puna, Guilherme Franque.
domingo, novembro 10, 2019
Ken Saro-Wiwa foi executado há 24 anos
Postado por Fernando Martins às 00:24 0 bocas
Marcadores: delta do Níger, direitos humanos, ditadura, Ken Saro-Wiwa, Nigéria, pena de morte, Petróleo, Shell
sábado, junho 15, 2019
A Guerra do Chaco começou há 87 anos
Guerra do Chaco | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
O Gran Chaco, teatro de operações da Guerra do Chaco | |||||||
| |||||||
Combatentes | |||||||
Paraguai | Bolívia | ||||||
Principais líderes | |||||||
José Félix Estigarribia | Hans Kundt | ||||||
Forças | |||||||
Exército Paraguaio, com 150 000 homens | Exército Boliviano, com 250 000 homens. | ||||||
Vítimas | |||||||
Exército Paraguaio, 30 000 mortos | Exército Boliviano, 60 000 mortos |
(...)
Os antecedentes do conflito residem nas várias disputas entre a Bolívia e o Paraguai pela posse de uma área da região do Chaco que vai até a margem direita do rio Paraguai e que na época do antigo Vice-Reinado do Rio da Prata pertencia à Bolívia. Portanto, após a independência dos dois países da Espanha, a região permaneceu em litígio, muito despovoada e as quatro tentativas de acordos de limites de fronteiras entre 1884 e 1907 foram rejeitadas por ambos os países. Anteriormente, a Bolívia já havia perdido o seu litoral e acesso ao Oceano Pacífico durante um conflito com o Chile, entre 1879 e 1881, conhecido como Guerra do Pacífico, também havia perdido o Acre, rico em seringueiras para produção da borracha, para o Brasil, através do Tratado de Petrópolis em 1903.
A Bolívia desejava ter um acesso ao Oceano Atlântico, via rio Paraguai e, para ter pleno acesso àquele rio, necessitava ocupar o Chaco, em território paraguaio.
(...)
Com a suposta descoberta de petróleo no sopé da cordilheira dos Andes, na região do Chaco Boreal, eclodiu o conflito entre ambas as nações. A Bolívia e o Paraguai eram as duas nações mais pobres da América do Sul, sendo que para o Paraguai o Chaco lhe proporcionava grandes vantagens, com quase 600.000 km², e as reservas petrolíferas já existentes. A Bolívia, devido às crises, viu a necessidade de invadir o Chaco. Então em 1932, o Exército Boliviano, sem autorização do presidente, entra no Chaco e nas margens do Lago Pitiantuta, tentam guarnecer o local, mas os paraguaios descobrem e retomam o lago, uma expedição boliviana é enviada e expulsa os paraguaios e também conseguem tomar os fortes paraguaios de Corrales, Toledo e Boquerón. Com isso o presidente paraguaio Eusebio Ayala declara guerra à Bolívia.
Postado por Fernando Martins às 08:07 0 bocas
Marcadores: América do Sul, Bolívia, Guerra do Chaco, Paraguai, Petróleo
sábado, abril 20, 2019
A explosão da plataforma Deepwater Horizon foi há nove anos
A torre estava na fase final da perfuração de um poço, na qual se reforça com concreto o poço. Este é um processo delicado, pois há possibilidade de os fluidos do poço serem libertados descontroladamente. No dia 20 de abril de 2010 houve uma explosão na torre e esta incendiou-se. Morreram onze pessoas em consequência deste acidente, 11 outros foram encontrados com vida. Sete trabalhadores foram evacuados para a estação aérea naval em Nova Orleães e levados para o hospital. Barcos de apoio lançaram água para a torre, numa infrutífera tentativa de extinguir as chamas. A Deepwater Horizon afundou-se a 22 de abril de 2010, em águas com aproximadamente 1500 metros de profundidade, e os seus restos foram encontrados no leito marinho a aproximadamente 400 metros a noroeste do poço.
O derrame de petróleo resultante prejudicou o habitat de centenas de espécies de aves.
A BP anunciou, em 17 de julho de 2010, ter conseguido estancar temporariamente o derrame de petróleo, depois de instaladas novas válvulas que conseguiram travar o derrame.
Postado por Fernando Martins às 09:00 0 bocas
Marcadores: BP, explosão da plataforma Deepwater Horizon, Nova Orleães, Petróleo, poluição
sábado, novembro 10, 2018
Ken Saro-Wiwa foi executado há 23 anos
Em 2009 a empresa Shell, reconhecendo a sua implicação na morte do ativista e dos seus oito companheiros, também com ele enforcados, pagou 15,5 milhões de dólares às famílias das vítimas, esperando assim minimizar os efeitos negativos para sua imagem deste caso.
Postado por Fernando Martins às 23:00 0 bocas
Marcadores: delta do Níger, direitos humanos, ditadura, Ken Saro-Wiwa, Nigéria, pena de morte, Petróleo, Shell
sexta-feira, abril 20, 2018
Uma explosão na plataforma Deepwater Horizon provocou uma grande maré negra há oito anos
A torre estava na fase final da perfuração de um poço, na qual se reforça com concreto o poço. Este é um processo delicado, pois há possibilidade de os fluidos do poço serem libertos descontroladamente. No dia 20 de abril de 2010 houve uma explosão na torre e esta incendiou-se, morrendo onze pessoas em consequência deste acidente, 11 outros foram encontrados com vida. Sete trabalhadores foram evacuados para a estação aérea naval em Nova Orleães e levados para o hospital. Barcos de apoio lançaram água à torre, numa infrutífera tentativa de extinguir as chamas. A Deepwater Horizon afundou-se a 22 de abril de 2010, em águas de aproximadamente 1.500 metros de profundidade, e os seus restos foram encontrados no leito marinho a aproximadamente 400 metros a noroeste do poço.
O derrame de petróleo resultante prejudicou o habitat de centenas de espécies de aves.
in Wikipédia
Postado por Fernando Martins às 08:00 0 bocas
Marcadores: explosão da plataforma Deepwater Horizon, Louisiana, maré negra, Petróleo, USA
terça-feira, março 20, 2018
Há 15 anos o Iraque foi invadido porque tinha armas de destruição maciça e apoiava a Al-Qaeda
A Invasão do Iraque em 2003 iniciou-se a 20 de março através de uma aliança entre os Estados Unidos, Reino Unido e muitas outras nações, numa aliança conhecida como A Coligação. A ofensiva terrestre foi iniciada a partir do Kuwait, depois de uma série de ataques aéreos com mísseis e bombas a Bagdad e arredores ter aberto o caminho às tropas no terreno.
Postado por Fernando Martins às 15:00 0 bocas
Marcadores: armas de destruição maciça, Invasão do Iraque, Iraque, pena de morte, Petróleo, Saddam Hussein