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quinta-feira, agosto 16, 2012

O Irmão Roger, da Comunidade de Taizé, morreu há 7 anos

Frère Roger, de son nom d'état civil Roger Schutz, né le 12 mai 1915 à Provence (Vaud, Suisse) et mort le 16 août 2005 à Taizé (Saône-et-Loire, France) est le fondateur de la communauté de Taizé.

Fondation de la communauté de Taizé
Roger Schutz est le dernier des neuf enfants du pasteur protestant originaire de Bachs (Suisse), Karl Ulrich Schütz, et Amélie Henriette Schütz-Marsauche, une protestante française originaire de Bourgogne.
Il naît et passe son enfance et sa jeunesse à Provence où son père est pasteur de la paroisse. De 1937 à 1940, Roger étudie la théologie réformée à Strasbourg et à Lausanne.
En 1940, à vingt-cinq ans, il décide d'aller partager en France le sort de ce pays occupé. «De Genève, je suis parti à bicyclette pour la France, cherchant une maison où prier, où accueillir et où il y aurait un jour cette vie de communauté.»
C'est à Taizé, un petit village de Bourgogne où les habitants l'accueillent chaleureusement, qu'il choisit de vivre. Au début de la guerre il accueille des dizaines de réfugiés juifs avec sa sœur Geneviève. En 1942 il rentre en Suisse et apprend qu'il ne peut retourner à Taizé car il a été dénoncé. En 1944 il retourne à Taizé et vient en aide aux prisonniers de guerre allemands.
«Dans ma jeunesse, j'étais étonné de voir des chrétiens qui, tout en se référant à un Dieu d'amour, perdaient tant d'énergie à justifier des oppositions. Et je me disais: pour communiquer le Christ, y a-t-il réalité plus transparente qu'une vie donnée, où jour après jour la réconciliation s'accomplit dans le concret ? Alors j'ai pensé qu'il était essentiel de créer une communauté avec des hommes décidés à donner toute leur vie et qui cherchent à se réconcilier toujours.»
Au fil des ans se développe la communauté de Taizé. En 1949, ils sont sept hommes à s'engager pour la vie dans la chasteté. Peu à peu d'autres compagnons se joignent à frère Roger: la communauté se compose à l'heure actuelle d'une centaine de frères venant d'une trentaine de nations et qui sont catholiques et de diverses origines évangéliques. À partir des années 1950, certains frères allèrent vivre en des lieux défavorisés pour se tenir aux côtés de ceux qui souffrent. Ils sont aujourd'hui au Brésil, au Sénégal, au Bangladesh, en Corée du Sud. La communauté n'accepte pour elle-même aucun don et cadeau. Les frères gagnent leur vie par leur travail. Leurs héritages personnels, ils les donnent aux plus démunis.
La confiance que témoigne au fondateur de Taizé le pape Jean XXIII joue un rôle important dans l'histoire de frère Roger. «Ah! Taizé, ce petit printemps!» dira un jour Jean XXIII en accueillant frère Roger. Des mots que Jean-Paul II reprendra lors de sa visite à Taizé le 5 octobre 1986, ajoutant : «On passe à Taizé comme on passe près d'une source.» Invité par Jean XXIII, frère Roger vivra à Rome avec quelques frères de sa communauté tout le concile Vatican II.
Rapprochement avec Rome
D'origine protestante, frère Roger Schutz s'est, au cours des années, rapproché de Rome et de la foi catholique, prenant ses distances avec la Fédération protestante de France et plus encore avec l’ecclésiologie protestante, se prononçant notamment en faveur du célibat des prêtres et d’un ministère universel du pape. En 1980, lors d’une rencontre européenne de jeunes à Rome, en présence du pape Jean-Paul II, il affirma publiquement en ces termes, dans la basilique Saint-Pierre : «J’ai trouvé ma propre identité de chrétien en réconciliant en moi-même la foi de mes origines avec le mystère de la foi catholique, sans rupture de communion avec quiconque.»
Cette évolution et, plus encore, la révélation de l’ordination comme prêtre catholique du frère Max Thurian en 1987, restée cachée pendant un an, ont semé le doute et provoqué de fortes tensions avec le protestantisme français. L'affaire Max Thurian «demeure une blessure, voire un traumatisme indépassable» pour certains protestants français qui «considèrent que Taizé s’est définitivement catholicisé» et ne peut plus être un «moteur de l’œcuménisme».
Jean-Claude Escaffit et Moïz Rasiwala rapportent, par ailleurs, le «trouble profond» ressenti par le fondateur de Taizé en apprenant l'ordination au sacerdoce catholique de Max Thurian, qui lui aurait été annoncée par lettre une semaine après, dans la perspective des conséquences désastreuses que cela pouvait avoir sur les relations œcuméniques. Par ailleurs, les auteurs affirment que Frère Roger, «à l'instar de tous les frères de Taizé», quelle que soit leur confession, communiait ouvertement et officiellement à l'eucharistie catholique, depuis 1972, date de l'engagement du premier frère catholique dans la communauté.
En 2006, l'historien Yves Chiron, proche des catholiques traditionalistes, a affirmé qu'il se serait converti au catholicisme en 1972 en compagnie de son bras droit, Max Thurian, et la profession de foi catholique aurait été reçue alors par l'évêque d'Autun, Mgr Armand Le Bourgeois, sans que cela soit annoncé publiquement. Ceci a été démenti par frère Alois, successeur de frère Roger. Celui-ci explique qu'il n'y a pas de conversion à proprement parler ni de rupture avec ses origines mais un une volonté de rapprochement tandis que le pasteur Gill Daudé, responsable du service des relations œcuméniques de la Fédération protestante de France parle lui de démarche de dépassement des clivages confessionnels. Mgr Gérard Daucourt, membre du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, indique pour sa part que frère Roger n'a pas triché «en cachant une conversion au catholicisme au sens où on l’entend habituellement». Il «partageait la foi catholique dans le ministère et dans l’Eucharistie», «il vénérait la Vierge Marie» et espérait «une proche restauration de l’unité visible entre tous les chrétiens», mais en voulant «vivre cela sans rupture avec quiconque».

Assassinat
Le 16 août 2005, alors qu'il participait comme tous les soirs de l'année à la prière commune avec plusieurs milliers de jeunes pèlerins présents à Taizé durant les Journées mondiales de la jeunesse 2005 qui se déroulaient à Cologne, le frère Roger, qui a alors quatre-vingt-dix ans, est poignardé mortellement par Luminita Solcan, une déséquilibrée âgée de trente-six ans qui avait réussi à s'introduire au milieu du chœur des Frères.
Ses funérailles se déroulent le 23 août 2005 en l'église de la Réconciliation de Taizé en compagnie des membres de la communauté de Taizé et de personnalités politiques et religieuses parmi lesquelles Horst Köhler, président de l'Allemagne, Nicolas Sarkozy, ministre français de l'Intérieur et ministre chargé des cultes, le pasteur Jean-Arnold de Clermont, président du Conseil de la Fédération protestante de France, l'évêque luthérien Wolfgang Huber, président de l'Église évangélique en Allemagne, l'archiprêtre Mikhail Gundyaev, représentant du Patriarcat orthodoxe de Moscou, en présence de plus de douze mille personnes.
Au cours de la messe concélébrée par le cardinal Walter Kasper, président du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, et quatre prêtres de Taizé, celui-ci a lu un message du pape Benoît XVI accordant sa bénédiction apostolique.
Le frère Roger est inhumé dans le cimetière du village. Sa succession à la tête de la communauté est assurée par frère Aloïs, catholique d'origine allemande, désigné par frère Roger en personne quelques années auparavant.


ADENDA: participei, como mais um jovem interessado em ecumenismo, em duas peregrinações de confiança sobre a terra, como lhes chamava o Irmão Roger e a Comunidade de Taizé, a de 1983, em Paris, e a de 1985, em Barcelona. São momentos muito especiais que guardo no meu coração - os cânticos de Taizé (com milhares de pessoas a cantar, a vozes, simples cantos gregorianos), a partilha entre irmãos cristãos de diversas igrejas e países, as viagens, os amigos que fiz e que tornam este Senhor alguém muito especial no meu coração...

sábado, janeiro 21, 2012

Música para espairecer e alegrar a alma...

(imagem daqui)

Eu e o meu filhote iremos, brevemente, cantar esta música (que eu aprendi, há quase trinta anos, num encontro ecuménico de jovens, organizado pela Comunidade de Taizé na cidade de Paris, no final do ano de 1982):


Laudate Domimum.
Laudate Domimum.
Omnes! Gentes!
Alleluia!


Nota: para quem quiser ouvir as diversas vozes (nomeadamente os meus colegas membros do Coro dos Piccolini Filarmónicos, da Sociedade Artística Musical dos Pousos - SAMP), basta clicar AQUI.

sexta-feira, dezembro 02, 2011

Gloria





Gloria, gloria, in excelsis Deo!
Gloria, gloria, aleluia, aleluia.

NOTA: deixamos aqui outra música de Taizé que eu e o meu filho, no dia 8 de dezembro, iremos cantar com o Coro Picollini Filarmónicos, no espetáculo do 138º aniversário da Sociedade Artística Musical dos Pousos (SAMP), em duas curiosas versões (a primeira em castelhano e a segunda com três meninas, em canon).

quarta-feira, novembro 30, 2011

Gloria ... et in terra pax



Gloria, gloria, in excelsis Deo, gloria, gloria, aleluia.
Et in terra pax hominibus bonæ voluntatis.

NOTA: aqui fica outra música que eu e o meu filho, no dia 8 de dezembro, iremos cantar, integrados no Coro Picollini Filarmónicos, no espetáculo do 138º aniversário da Sociedade Artística Musical dos Pousos (SAMP), fundada nesta data pelo 2º Barão de Viamonte.


terça-feira, novembro 29, 2011

Cantate Domino


 Cantate Domino. Aleluia, aleluia! Jubilate Deo.

NOTA: eu e o meu filho, no dia 8 de dezembro, iremos cantar esta música, com o Coro Picollini Filarmónicos, no espetáculo do 138º aniversário da Sociedade Artística Musical dos Pousos (SAMP), fundada nesta data pelo 2º Barão de Viamonte.


terça-feira, agosto 16, 2011

O Irmão Roger de Taizé morreu há 6 anos


Frère Roger (Irmão Roger) (Vaud, Suíça, 12 de maio de 1915 - Taizé, 16 de agosto de 2005 - 90 anos), baptizado Roger Louis Schütz-Marsauche, foi o fundador da Comunidade de Taizé.


O irmão Roger, fundador da Comunidade Ecuménica de Taizé, morreu há 6 anos

Frère Roger (Irmão Roger) (Vaud, Suíça, 12 de Maio de 1915Taizé, 16 de Agosto de 2005 - 90 anos), baptizado Roger Louis Schütz-Marsauche, foi o fundador da Comunidade de Taizé.

quarta-feira, janeiro 06, 2010

Uma bonita música para celebrar o Dia de Reis

Hoje, nalguns países, recorda-se as ofertas dos Reis Magos ao Deus Menino, oferecendo prendas. Aqui fica a minha aos amigos e leitores - uma canção de Taizé que eu cantei, nos anos oitenta, com mais de dez mil pessoas num ecuménico Encontro Europeu de Jovens organizado pela Comunidade de Taizé na cidade de Paris:




Ubi caritas et amor
Ubi caritas Deus ibi est


ADENDA
: tradução da letra, sem grandes preocupações linguísticas:
Onde houver caridade e amor
Onde houver caridade, Deus está lá