José Sócrates, le Portugais ensablé
Rien ne va plus pour le Premier ministre socialiste, dont le nom est associé à des affaires de corruption sur fond de crise économique majeure.
L’inimitié d’une bonne partie des médias, une crise politique qui tourne au blocage institutionnel, une situation sociale explosive, un fiasco économique obligeant à des mesures drastiques à court terme… Comme si cela n’était pas suffisant, le bouillant José Sócrates (mollement réélu aux législatives de septembre 2009) doit désormais affronter une fronde du Parlement qui pourrait le forcer à la démission ou amener sa famille socialiste à lui trouver un successeur à la tête du gouvernement. Aujourd’hui commencent à Lisbonne les travaux d’une commission d’enquête parlementaire qui, pour la première fois depuis la fin de la dictature de Salazar, implique directement un Premier ministre. Et va le contraindre à comparaître physiquement, au mieux par écrit. «Le Portugal est un bateau ivre dans lequel le capitaine est le plus suspect de tout l’équipage», a asséné un chroniqueur de la chaîne privée SIC.
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Rien ne va plus pour le Premier ministre socialiste, dont le nom est associé à des affaires de corruption sur fond de crise économique majeure.
L’inimitié d’une bonne partie des médias, une crise politique qui tourne au blocage institutionnel, une situation sociale explosive, un fiasco économique obligeant à des mesures drastiques à court terme… Comme si cela n’était pas suffisant, le bouillant José Sócrates (mollement réélu aux législatives de septembre 2009) doit désormais affronter une fronde du Parlement qui pourrait le forcer à la démission ou amener sa famille socialiste à lui trouver un successeur à la tête du gouvernement. Aujourd’hui commencent à Lisbonne les travaux d’une commission d’enquête parlementaire qui, pour la première fois depuis la fin de la dictature de Salazar, implique directement un Premier ministre. Et va le contraindre à comparaître physiquement, au mieux par écrit. «Le Portugal est un bateau ivre dans lequel le capitaine est le plus suspect de tout l’équipage», a asséné un chroniqueur de la chaîne privée SIC.
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in Libération - notícia completa AQUI
1 comentário:
A revista alemã “Der Spiegel” escreveu na sua edição "on-line" o seguinte texto como resumo do que sairá amanhã (29-03-10) na edição em papel:
Ferrostaal soll auch für andere Firmen Schmiergeld- Geschäfte organisiert haben
Der unter Korruptionsverdacht stehende Ferrostaal-Konzern hat offenbar nicht nur selber jahrelang Schmiergelder bezahlt, sondern vermutlich auch für andere Unternehmen die Zahlung von Bestechungsgeldern organisiert.
Im Zentrum des aktuellen Schmiergeldskandals steht jedoch die Lieferung zweier U-Boote an Portugal. Ferrostaal, das zusammen mit HDW und den Thyssen Nordseewerken geboten hatte, gewann im November 2003 den 880-Millionen-Euro-Auftrag. In den Akten der Ermittler heißt es, dass ein portugiesischer Honorarkonsul bei der Anbahnung des U-Boot Geschäfts behilflich war. Der Nebenjob-Diplomat habe im Sommer 2002 sogar ein direktes Gespräch zwischen einem Ferrostaal Vorstand und dem damaligen portugiesischen Premierminister José Manuel Barroso vermittelt. Insgesamt soll der Honorarkonsul für seine "zielführende Assistenz" letztlich gut 1,6 Millionen Euro kassiert haben. Die Münchner Staatsanwälte stießen bei dem Geschäft auf mehr als ein Dutzend verdächtige Vermittlungs- und Beraterverträge. Sie alle sollen, so steht es in den Ermittlungsakten, "zur Verschleierung von Zahlungswegen" gedient haben, um diese "an Entscheidungsträger der Regierung, der Ministerien oder der Marine Portugals als Bestechungsgelder" weiterzugeben. Ferrostaal will sich wegen der laufenden Ermittlungen zu den Vorwürfen nicht äußern.
Tradução:
A Ferrostaal terá também organizado negócios de corrupção para outras empresas.
O Grupo Ferrostaal, que está sob a suspeita de corrupção, não só pagou durante anos luvas como terá organizado o pagamento de dinheiros corruptos de outras empresas.
No centro do escândalo do pagamento de dinheiros corruptos está o fornecimento de dois submarinos a Portugal. A proposta da Ferrostaal em conjunto com a HDW e a Thyssen Nordseewerke ganhou em Novembro de 2003 o contrato no valor de 880 milhões de euros. Nas actas dos investigadores judiciais está dito que um cônsul honorário colaborou na execução do negócio. O diplomata em tempo parcial organizou um encontro entre um administrador da Ferrostaal e o então primeiro ministro José Manuel Barroso. No total, o cônsul honorário recebeu pela sua “assistência objectiva” 1,6 milhões de euros. A Procuradoria de Justiça de Munique encontrou mais de uma dúzia de contratos de mediação e consultadoria que se destinavam a disfarçar o pagamento de luvas a “decisores do Governo, dos Ministérios e da Marinha de Portugal”. Ferrostaal recusa-se a fazer qualquer declaração devido às investigações em curso.
Publicado por DD
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